À André Falconet, le 30 juillet 1670, note 3.
Note [3]

V. note [12], lettre 990, pour la mort, le soupçon d’empoisonnement et l’autopsie de la duchesse d’Orléans. La corruption de l’épiploon (repli du péritoine qui recouvre les intestins) peut être un argument supplémentaire en faveur d’une péritonite.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 30 juillet 1670, note 3.

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(Consulté le 25/04/2024)

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