Note [35] |
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Les trois mots font allusion au même animal, mais avec de subtiles nuances : dans la langue du xviie s., le magot était un « gros singe », et la guenon un « petit singe femelle que les dames de qualité prennent plaisir de nourrir » (Furetière). Le portrait de François Guénault qui est accroché dans la réserve de la BIU Santé (v. note [21], lettre 80) ne lui donne aucunement l’allure d’un singe ; ce surnom lui venait simplement de la ressemblance de son nom avec le mot guenon. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 23 novembre 1657, note 35.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0504&cln=35 (Consulté le 05/10/2024) |