Note [4] |
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« Enfin libéré de son précepteur, il aime les chevaux : comme une cire molle, il se laisse façonner au vice, regimbe aux avertissements, met longtemps à songer à l’utile, dépense sans compter » ; emprunt tronqué à Horace (Art poétique, vers 161‑165) :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 28 mai 1649, note 4.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0177&cln=4 (Consulté le 14/12/2024) |