À Johannes Antonides Vander Linden, le 12 décembre 1653, note 4.
Note [4]

Dans ses lettres de cette période, tant latines que françaises, tandis que foisonnaient les libelles pour et contre l’antimoine, Guy Patin a dit et répété que Jean ii Riolan travaillait ardemment à réfuter ce médicament, mais il n’en a résulté aucun livre imprimé (v. note [18], lettre 252). Riolan avait alors encore un peu plus de trois ans à vivre.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 12 décembre 1653, note 4.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1059&cln=4

(Consulté le 14/11/2024)

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