Note [41] |
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« On dit ce qui vient par la flûte s’en va par le tambourin pour dire que le bien s’en est allé comme il était venu ; ce qui se dit aussi d’un bien mal acquis » (Furetière). V. note [12], lettre 214, pour le mariage, arrangé par Condé en décembre 1649, du jeune duc de Richelieu, Armand-Jean de Vignerod du Plessis, avec Anne Poussart de Pons de Miossens, fille du baron de Vigean. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, les 21 et 22 novembre 1652, note 41.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0297&cln=41 (Consulté le 14/12/2024) |