À Charles Spon, le 1er novembre 1652, note 5.
Note [5]

« Le médecin fonde son art sur les sens, il croit d’ailleurs ce qu’il voit. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 1er novembre 1652, note 5.

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(Consulté le 25/04/2024)

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