À Charles Spon, le 15 décembre 1654, note 5.
Note [5]

Trêve « se dit en matière de douleurs quand on y sent quelque allègement, quelque relâche. Sa goutte lui a donné quelque trêve dans la belle saison » (Furetière) ; pour dire que Jean ii Riolan, fort asthmatique (dyspnéique), avait moins à lutter pour respirer.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 15 décembre 1654, note 5.

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(Consulté le 26/04/2024)

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