À André Falconet, le 14 novembre 1664, note 5.
Note [5]

« parce qu’il n’usait que de peu de médicaments, qui lui étaient familiers et qu’il choisissait avec bonheur. »

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 14 novembre 1664, note 5.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0798&cln=5

(Consulté le 05/12/2024)

Licence Creative Commons