Note [52] |
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Le panégyriste de Jean Héroard transformait effrontément en victoire la défaite de Coligny à Moncontour (3 octobre 1569, v. supra note [22]) : non levem victoriam reportavit, « il n’a pas remporté une maigre victoire ». Blessé, le chef protestant se replia dans le Languedoc, où il reconstitua une armée, pour guerroyer jusqu’à la paix de Saint-Germain-en-Laye (8 août 1570) qui mit fin à la troisième guerre de Religion. V. note [1], lettre 463, pour Henri ier, duc de Guise, dit le Balafré, fervent partisan des catholiques qui luttait alors pour le roi, et fut blessé à Moncontour. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Annexe : Les deux Vies latines de Jean Héroard, premier médecin de Louis xiii, note 52. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8225&cln=52 (Consulté le 07/12/2024) |