De Christiaen Utenbogard, le 21 août 1656, note 61.
Note [61]

« Qui beaucoup pèche, rien ne pardonne » (adage italien sans source identifiée). Après sa digression sur les sociniens et la Satyra de Petrus Cunæus, Christiaen Utenbogard revenait à Gisbertus Voetius, sa pire bête noire et le principal sujet de sa lettre, mais dont Guy Patin prisait fort les ouvrages.

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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – De Christiaen Utenbogard, le 21 août 1656, note 61.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=9065&cln=61

(Consulté le 29/05/2023)

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