À Claude II Belin, le 18 octobre 1630, note 7.
Note [7]

« en raison tant de la cause qui, dans les deux cas, a été une putréfaction éminente et remarquable, que des symptômes qui, dans les deux cas, ont été gravissimes. »

Les deux cas que Guy Patin distinguait ici étaient les pestes couvertes (larvées ou atypiques, avec seulement de la fièvre) et manifestes (franches ou typiques, avec bubons et charbons).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 18 octobre 1630, note 7.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0005&cln=7

(Consulté le 19/04/2024)

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