Note [7] | |
« monakos comme monos et akhos, c’est-à-dire seul et triste, comme vivant dans la solitude et la sollicitude ». Patin a déjà employé ce jeu de mot étymologique dans sa précédente lettre à Belin (v. note [10], lettre 10), et Érasme ne s’en est pas non plus privé (L’Éloge de la Folie, liv) :
Traduction de Pierre de Nolhac (1927) :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 20 mai 1632, note 7.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0011&cln=7 (Consulté le 05/12/2024) |