À Charles Spon, le 4 février 1653, note 7.
Note [7]

« pour qu’il puisse enfin être à la hauteur sa douce tâche » : Ne blando nequeat superesse labori (Virgile, Géorgiques, livre iii, vers 127) ; sans doute une nouvelle allusion frondeuse de Guy Patin aux relations amoureuses qui étaient supposées exister entre Mazarin et la reine.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 4 février 1653, note 7.

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(Consulté le 02/12/2024)

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