À André Falconet, le 22 décembre 1665, note 7.
Note [7]

« Lorsque je vois les mortels les plus vertueux tomber sous un destin cruel, pardonnez-moi cet aveu, je suis tenté de croire qu’il n’y a point de dieux » (Ovide, v. note [11], lettre 206).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 22 décembre 1665, note 7.

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(Consulté le 02/12/2024)

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