Note [8] |
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« Jules [Mazarin] est enfin sous terre : c’est merveille qu’entouré par tant de bourreaux un larron ait tant peiné à mourir. » Guy Patin a plus tard (v. note [12], lettre 697) attribué ces deux vers à François Du Monstier (v. note [25], lettre 207). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 22 mars 1661, note 8.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0684&cln=8 (Consulté le 02/12/2024) |