Note [32] |
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Les médecins ne recevaient pas les clients chez eux, mais se rendaient à leur domicile : soit seuls, pour la visite ; soit accompagnés de collègues, pour la consultation, où plusieurs praticiens confrontaient leurs avis (v. note [5], lettre 32). La pratique médicale demandait de nombreux déplacements dans la ville, à pied, ou à dos de mule ou de cheval. Ce propos du Faux Patiniana est plausible dans la bouche de Guy Patin : il passait une bonne partie de son temps à courir dans Paris pour voir les malades, et a consacré le chapitre v de son Traité de la Conservation de santé aux bienfaits et méfaits de l’exercice physique. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : L’Esprit de Guy Patin (1709), Faux Patiniana II-1, note 32. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8214&cln=32 (Consulté le 16/06/2024) |