Note [1] |
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Ovide (L’Art d’aimer, livre iii, vers 25‑27) :
De fait, la suite de sa lettre va bien montrer, une fois de plus, que Guy Patin n’était guère habile à orienter les voiles de son esprit dans le vent qui pousse le progrès médical ; mais son incapacité à instruire quiconque n’est évidemment qu’une pure rodomontade, car enseigner, à la Faculté et au Collège royal, occupait une bonne partie de son temps et lui valait le renom dont il jouissait en Europe. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Philipp Jakob Sachs von Lewenhaimb, le 10 février 1666, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1424&cln=1 (Consulté le 20/09/2024) |