À Charles Spon, le 19 octobre 1655, note 10.
Note [10]

« et qu’il ne suffoque pas alors sur-le-champ ou pendant la nuit suivante ». Cette ultime saignée de Pierre Gassendi, qui venait après un trop grand nombre d’autres, allait valoir à ses médecins une vive semonce dans la Vie de Gassendi que Samuel Sorbière a mise, en 1658, au-devant de ses Opera omnia… (v. note [20], lettre 528).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 19 octobre 1655, note 10.

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(Consulté le 05/05/2024)

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