Note [3] |
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« Est-ce parce que la Nature, soulagée par le bienfait de la saignée, a facilement surmonté ce qui subsistait de l’empoisonnement ? ou parce qu’un scorpion de cette espèce était dépourvu de venin ? ou parce que l’emploi des thériaques et alexipharmaques de cette sorte dans ce genre de blessures n’est ni aussi sûr, ni aussi nécessaire que beaucoup le pensent ? » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 10 janvier 1650, note 3.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0213&cln=3 (Consulté le 30/04/2024) |