À Marten Schoock, le 29 octobre 1665, note 1.
Note [1]

Guy Patin a omis de biffer præsto dans sa phrase latine : Illi filio quantum voluerit præsto adero, et quantum in me erit, præstabo…

Les deux nobles brandebourgeois (prussiens) répondant au nom de von Schwerin étaient l’un et l’autre prénommés Otto :

  • le père, Otto i (1616-1679), menait une brillante carrière politique et diplomatique au service de l’électeur de Brandebourg, Frédéric Guillaume de Hohenzollern (v. note [10], lettre 150), dont il était alors ministre des affaires étrangères ;

  • son fils unique, Otto ii (1645-1705) entama sa carrière politique en 1667 et la poursuivit toute sa vie, mais sans occuper d’aussi éminentes fonctions que son père.

    Il voyageait alors en Hollande et en France, ce qui ne permet pas d’exclure entièrement que Marten Schoock lui ait remis sa lettre à Groningue, et non à Berlin, où il allait bientôt s’installer définitivement, ou l’était même déjà (Guy Patin était au courant de son projet depuis un an (v. note [6] de sa lettre latine datée du 4 octobre 1664).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Marten Schoock, le 29 octobre 1665, note 1.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1411&cln=1

(Consulté le 26/04/2024)

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