À Hugues II de Salins, le 7 mai 1663, note 2.
Note [2]

« L’ordre de la Nature exige cela par-dessus les forces propres qui jamais ne l’emportent ; et c’est un axiome thérapeutique qui est profondément vrai. {a} Cette protubérance du clitoris n’est pas une grave maladie ; si pourtant il provoque de la gêne, il doit être réséqué par le fer, mais le cautère n’y vaut rien. » {b}


  1. Guy Patin étayait de manière assez fumeuse son avis sur les coctions.

  2. Patin abordait une autre question posée par Hugues ii de Salins, sur la résection du clitoris. De la « verge féminine », Furetière disait en effet : « on la retranche quelquefois par opération de chirurgie quand elle sort trop en dehors. » V. note [35], lettre latine 154, pour un long développement sur ce sujet.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Hugues II de Salins, le 7 mai 1663, note 2.

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(Consulté le 05/05/2024)

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