Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli
(1651)
Chapitre v, note 2.
Note [2]

Jean Pecquet s’attaquait au maillon qui manquait encore à la circulation de William Harvey : ses expériences fonctionnelles (garrottages chez l’être vivant) avaient prouvé qu’aux extrémités du réseau vasculaire le sang passe des artères dans les veines, mais il n’avait ni exposé les modalités exactes de cette communication, ni mis au jour les structures anatomiques qui la permettent, en dépit de tous les efforts qu’il avait vainement déployés pour y parvenir (v. note [27], première Responsio de Jean ii Riolan, 6e partie).

Marcello Malpighi a le premier démontré l’existence matérielle des capillaires sanguins en 1661, dans le poumon de la grenouille : vnote Patin 19/8009.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli
(1651)
Chapitre v, note 2.

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(Consulté le 14/06/2024)

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