Note [19] |
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Déjà fumeux, à l’aune de la pathologie moderne, ce débat sur l’obstruction des voies du chyle prend un tour cocasse quand Jean Pecquet y insère le rôle joué par les gibbosités : une des causes acquises la plus commune en était alors la spondylodiscite tuberculeuse (dite mal de Pott depuis la fin du xviiie s.), qui peut certes aboutir à une phtisie, mais par des mécanismes bien différents d’une malabsorption mécanique du chyle. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Nova de thoracicis lacteis Dissertatio (1654) Expérience i, note 19. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=0042&cln=19 (Consulté le 13/06/2024) |