Texte : Jean Pecquet
Nova de thoracicis
lacteis Dissertatio
(1654)
Expérience i, note 2.
Note [2]

Le verbe abscindo, « je coupe » est ici surprenant : pour garder la veine porte pleine de sang (comme Jean Pecquet va le mettre à profit dans le paragraphe suivant), on se serait plutôt attendu à innodo, « je ligature ».

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean Pecquet
Nova de thoracicis
lacteis Dissertatio
(1654)
Expérience i, note 2.

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(Consulté le 14/06/2024)

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