Note [29] |
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Cette spéculation aurait été visionnaire si Jean Pecquet y avait ajouté le mot « graisses », car les acides de la bile sont indispensables à la formation du chyle en permettant la saponification des lipides qui prélude à leur absorption, mais il n’avait probablement pas compris ni même lu le livre de Cecilio Folli sur le sujet (v. supra note [4], notule {a}). |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Nova de thoracicis lacteis Dissertatio (1654) Expérience i, note 29. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=0042&cln=29 (Consulté le 13/06/2024) |