Texte : Jean Pecquet
Nova de thoracicis
lacteis Dissertatio
(1654)
Expérience iii, note 8.
Note [8]

Dans sa revue de ce qu’on tenait alors pour les émonctoires, ou organes destinés à évacuer les déchets corporels, Jean Pecquet :

  • citait le cerveau comme celui de la pituite (dont le liquide céphalo-rachidien était une des formes), parce que ses ventricules étaient censés en être remplis et la rejeter par le nez et par la bouche sous forme de glaires (d’où nous est tout de même resté le populaire « rhume de cerveau ») ;

  • omettait la peau (v. note [14], Brevis Destructio d’Hyginus Thalassius, chapitre iv) ;

  • laissait maladroitement entendre (contre ce qu’il en a dit ailleurs) que le chyle contenait de la bile et de l’atrabile.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean Pecquet
Nova de thoracicis
lacteis Dissertatio
(1654)
Expérience iii, note 8.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=0044&cln=8

(Consulté le 14/06/2024)

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