Note [21] | |
Longue diatribe de Pline l’Ancien contre les médecins au début du livre xxix de son Histoire naturelle, chapitres v et viii (Littré Pli, volume 2, pages 299‑300) : « De là ces misérables débats au chevet des malades, personne n’accédant à l’avis déjà émis, de peur de paraître subordonné à un autre ; de là cette funeste inscription sur un tombeau : “ Le grand nombre des médecins m’a tué. ” La médecine varie tous les jours, après avoir été tant de fois modifiée. Nous sommes poussés au charlatanisme grec ; et il est évident que le premier d’entre eux habile à pérorer devient aussitôt l’arbitre de notre vie et de notre mort. […] {a} Les médecins apprennent à nos risques et périls, ils expérimentent en tuant [avec une impunité souveraine, et le médecin est le seul qui puisse donner la mort.] » {b} |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Lettres de soutien adressées à Jean Pecquet : Samuel Sorbière, alias Sebastianus Alethophilus (1654), note 21. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=0049&cln=21 (Consulté le 13/06/2024) |