Note [1] |
|
« L’argile fraîche qui a été une fois imprégnée d’un parfum le gardera longtemps », Horace, Épîtres, i, ii, vers 69‑70. |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Hyginus Thalassius (1654) alias Pierre De Mercenne, Brevis Destructio de la première Responsio (1652) de Jean ii Riolan (1654) : chapitre iii, note 1. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=0052&cln=1 (Consulté le 14/06/2024) |