Note [10] | |
« celui qui l’a blâmé pour avoir méprisé son nom dans la ville de Paris » ; dernier paragraphe de la Spongia alexiteria de Jean ii Riolan (citée dans la note [9] supra), page 858 : Hisce finio meam querimoniam, quam extorsit spreta iniuria famæ, et exprobratus mei nominis contemptus, in hac vrbe Parisiensi. Atque claudo meam responsionem ad libellum famosum Parisani. Pour Riolan et ses collègues, les médecins étrangers étaient tous ceux, français ou non, qui n’étaient pas gradués de la Faculté de Paris ; il leur était en principe interdit d’exercer dans la capitale. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Hyginus Thalassius (1654) alias Pierre De Mercenne, Brevis Destructio de la première Responsio (1652) de Jean ii Riolan (1654) : chapitre iii, note 10. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=0052&cln=10 (Consulté le 14/06/2024) |