Note [29] |
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Jean ii Riolan recourait à sa conception de la circulation, qui n’obligeait pas le sang à remonter des veines vers le cœur, pour répondre à la juste objection de Jean Pecquet (v. note [5], Dissertatio anatomica, chapitre v). Je ne sais pas comment le choléra morbus (v. note Patin 24/222) et les « accès fébriles les plus ardents » (summi ardores febrium) chassent le sang « à l’intérieur » (intus), sauf à admettre que cela correspond à ce que la pathologie moderne appelle un collapsus au cours d’un choc septique. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Première Responsio (1652) aux Experimenta nova anatomica de Jean Pecquet (1651). 6. Sur la circulation du sang, note 29. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=1005&cln=29 (Consulté le 13/06/2024) |