Texte : Jean ii Riolan
Première Responsio (1652) aux
Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1651).
6. Sur la circulation du sang, note 40.
Note [40]

« Je ne croirai pas que le reste t’a plu si tu ne me fais pas connaître ce qui t’a déplu » : Pline le Jeune (v. note [14], préface de la première Responsio de Jean ii Riolan), livre iii, fin de la lettre xiii écrite à son ami Romanus, pour obtenir un avis sur un discours que Pline avait écrit (sans contexte de flatterie de part ou d’autre),

Sed quid ego hæc doctissimo uiro ? Quin potius illud : adnota, quæ putaueris corrigenda. Ita enim magis credam cætera tibi placere, si quædam displicuisse cognouero.

[Mais que dirai-je au très savant homme que tu es ? Bien plutôt ceci : annote ce que tu crois devoir être corrigé ; je croirai tout à fait que le reste t’a plu si tu me fais connaître ce qui t’a déplu].

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Première Responsio (1652) aux
Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1651).
6. Sur la circulation du sang, note 40.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=1005&cln=40

(Consulté le 03/06/2024)

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