Note [5] |
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Cet argumentaire, aujourd’hui incompréhensible, découle du fait que Jean ii Riolan croyait en l’alternance, centripète et centrifuge, du mouvement sanguin dans les veines (tout particulièrement dans la porte) : v. supra note [2]. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Première Responsio (1652) aux Experimenta nova anatomica de Jean Pecquet (1651). 6. Sur la circulation du sang, note 5. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=1005&cln=5 (Consulté le 13/06/2024) |