Note [8] |
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Thomas Bartholin n’avait assurément pas tort de critiquer le latin de Jean Pecquet : bien plus que ses fioritures, sa rugosité gêne sérieusement sa compréhension et sa traduction ; mais c’était l’hôpital qui se moquait de la charité, car le latin de Bartholin était très loin d’être irréprochable, et d’égaler celui de Jean ii Riolan ou de William Harvey. Riolan, en 1653, et Pecquet, en 1654, ont tous deux relevé ce blâme de Bartholin : v. notes [9] et [13], épître dédicatoire de la Nova Dissertatio. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Thomas Bartholin Historia anatomica sur les lactifères thoraciques (1652) chapitre v, note 8. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=1025&cln=8 (Consulté le 13/06/2024) |