Note [5] | |
Dans l’argument viii du chapitre xv de son Historia anatomica (pages 55‑56), Thomas Bartholin donne un long extrait d’une lettre que Hermann Conring lui a écrite, où il envisage que le chyle se mêle au sang veineux dans la subclavière, mais aussi en d’autres endroits du corps (v. sa note [27]). L’ouvrage français de référence qui donne la plus magistrale description que je connaisse du canal thoracique (ductus thoracicus) humain est l’Anatomie de Bourgery : {a} sa splendide planche 90, tome iv, Ensemble des vaisseaux et ganglions lymphatiques prévertébraux. Chapelets iliaques externes, lombaires et intercostaux ; réservoir de Pecquet et canal thoracique. Adulte, demi-nature, est assortie d’un texte détaillé (pages 157‑158 du même tome). Il est divisé en huit paragraphes : Situation, définition ; Origine, trajet, direction ; Calibre ; Connexions ; Affluents ; Diverticules ; Valvules ; Anomalies. {b}
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Thomas Bartholin Historia anatomica sur les lactifères thoraciques (1652) chapitre xi, note 5. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=1031&cln=5 (Consulté le 13/06/2024) |