Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
1. Préface au lecteur, note 5.
Note [5]

Chapitre ix du livre cité, contre les pythagoriciens ; {a} Jean ii Riolan a emprunté son latin au tome iii des Operum Aristotelis, page 479, lignes 30‑31 : {b}

Præterea quod ipsi primi de numeris discordant, signum est, ipsas res, cum non sint veræ, ipsis præbere confusionem.

« Mais, en outre, les dissentiments même qui éclatent, entre les plus habiles de ces philosophes, sur la nature des nombres, sont la preuve frappante que c’est la fausseté de toutes ces théories qui les jette dans un trouble aussi profond. » {c}


  1. V. note [4], épître dédicatoire des Experimenta nova anatomica (1651) à François Fouquet.

  2. Bâle, 1548, édition établie par Hieronymus Gemusæus (vnote Patin 41/1020).

  3. Traduction du texte grec original par Jules Barthélemy-Saint-Hilaire, 1879.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
1. Préface au lecteur, note 5.

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(Consulté le 13/06/2024)

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