Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
1re de 6 parties, note 14.
Note [14]

Suo ipsius indicio periit sorex [La trace qu’elle laisse perd la souris] est un adage antique qu’Érasme a commenté (no 265).

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
1re de 6 parties, note 14.

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(Consulté le 03/06/2024)

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