Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
1re de 6 parties, note 40.
Note [40]

J’ai traduit entre guillemets ce fragment du prologue des Animadversiones in Caspari Bartholini Doctoris Medici, Theologi, ac Professoris Regii Institutiones Anatomicas [Animadversions sur les Institutions médicales de Caspar Bartholin, docteur en médecine, théologien et professeur royal] : Opera anatomica vetera et nova de Jean ii Riolan (Paris, 1649, v. supra première notule {a}, note [26]), pages 758‑759.

L’allusion finale vise un propos de Thomas Bartholin dans sa préface des Institutiones Aanatomicæ paternelles (Leyde, 1641, v. supra note [39]), 3e page :

Nollem sanè Doctissimo cuidam Medico imprudenter non ita pridem excidisse Anatomicam disciplinam jam nulla re magis quam magnitudine sua laborare, cui ultimum complementum sit additum.

[Je ne voudrais vraiment aucun bien à ce très savant médecin qui, il n’y pas longtemps, a imprudemment démoli la science anatomique, laquelle souffre plus que tout de son immensité, en disant y avoir ajouté le dernier complément qui lui manquait].

Le commentaire de Riolan laisse entendre que Bartholin le visait obliquement en rapportant un propos de Jacques Primerose (vnote Patin 41/104) que je n’ai pas trouvé dans les livres qu’il a publiés avant 1641.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
1re de 6 parties, note 40.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=1054&cln=40

(Consulté le 13/06/2024)

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