Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
1re de 6 parties, note 51.
Note [51]

Pour se justifier dans le débat sur la circulation sanguine, Jean ii Riolan s’inspirait de Sénèque (Le Repos du sage, chapitre xxx) parlant du débat entre les épicuriens et les stoïciens :

si quis semper unius sequiturn non id curiæ, sed iam factionis est.

[suivre toujours l’opinion d’un seul n’est pas le propre d’un sénat, mais d’une faction].

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
1re de 6 parties, note 51.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=1054&cln=51

(Consulté le 13/06/2024)

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