Note [1] | |
Dans ce livre anonyme de 718 pages, autrement intitulé Mascurat, {a} Gabriel Naudé, bibliothécaire du cardinal Mazarin, prenait la défense de son maître contre la première vague des libelles frondeurs qu’on a plus tard appelés mazarinades. {b} Pour attaquer Jacques Mentel, Jean ii Riolan en citait les pages 173‑179, en omettant ce court préambule : « S. {c} Je croyais tantôt, lorsque tu as parlé de la bibliothèque de Monsieur Mentel, que tu étais de ses amis, mais maintenant que tu soutiens une opinion contraire à la sienne, touchant l’invention de l’imprimerie, je ne saurais plus qu’en dire ; car il veut absolument que nous en soyons redevables à un de ses ancêtres nommé comme lui Mentel ou Mentelin. Riolan a beaucoup abrégé et discrètement retouché cet extrait. J’en ai modernisé l’orthographe et la ponctuation, mais je n’ai rien osé faire contre la longueur et la confusion des phrases de Naudé. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 6e et dernière partie, note 1. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=1059&cln=1 (Consulté le 03/06/2024) |