Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
6e et dernière partie, note 21.
Note [21]

Jean ii Riolan malmenait le titre et méconnaissait l’auteur de l’Introductio in universam Artem medicam que Sebastian Scheffer a extraite des leçons publiques de son maître Hermann Conring. {a} En revanche, Riolan y citait fidèlement le début du § xxxiii, chapitre iv, thèse i, page 108, tout en omettant la phrase moins flatteuse qui suit :

Idem nuper novam sententiam de circulatione sanguinis introducere est conatus : sed hanc doctissime refutavit Slegelius noster.

[Le même s’est récemment efforcé d’introduire un avis nouveau sur la circulation du sang, mais notre Schlegel l’a très savamment réfuté]. {b}


  1. Helmstedt, 1654, vnote Patin 26/484.

  2. V. supra note [17] pour Paul Markward Schlegel. C’était la tige après la fleur de la rose.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
6e et dernière partie, note 21.

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(Consulté le 13/06/2024)

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