Note [32] | |
Anthropographia, Paris, 1649, loc. cit., fin du chapitre De apparatu anatomico veteri, et novo [L’Outillage anatomique ancien et nouveau] : « Pour que sa dissection ne soit pas horrible et répugnante, le médecin découpera toutes les parties avec art et adresse pour éviter les grands épanchements de sang ou sinon, les éponger très rapidement. {a} S’il procède avec élégance, il n’aura pas besoin de ce vêtement qui le fait ressembler à un boucher qui tue le bétail. Mon habitude est donc de disséquer et de démontrer l’anatomie habillé de ma longue robe, qui est la même que celle que je porte pour enseigner du haut de la chaire. {b} Soranos, chapitre iiii, a établi fort à propos que : Ipsa Natura interdum indoctis, etiam peritorum tribuit efficaciam : sed ipsa operatio et ipsius honesta tractatio longè in eo apparet, qui peritus est, et facile improbat imperitum. » {c} |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 6e et dernière partie, note 32. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=1059&cln=32 (Consulté le 13/06/2024) |