Note [5] |
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V. notes Patin :
Les épigraphes étaient les « sentences ou devises que quelques auteurs mettent au frontispice de leurs ouvrages et qui en indiquent l’objet » (Dictionnaire de l’Académie française). Dans les premiers livres imprimés (incunables), il s’agissait de l’incipit (début du texte). |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 6e et dernière partie, note 5. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=1059&cln=5 (Consulté le 13/06/2024) |