Annexe : Jean Pecquet dans la
correspondance de Marin Mersenne, note 9.
Note [9]

En mai 1648, Jean Pecquet ne suivait probablement plus les cours de la Faculté de médecine de Paris et semblait devoir assurer sa subsistance en étant précepteur ou répétiteur de plus jeunes que lui (v. note [9], épître dédicatoire de la Nova Dissertatio). Marin Mersenne avait dû lui confier celui qui se nommait Degaignes ; il pouvait étudier la théologie et la philosophie à la Sorbonne et préparer sa première tentative (thèse de bachelier).

Pecquet devait soigner un autre de ses écoliers, mais je ne comprends pas en quoi cela l’empêchait d’aller rendre visite à Mersenne au couvent des minimes.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Annexe : Jean Pecquet dans la
correspondance de Marin Mersenne, note 9.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=1522&cln=9

(Consulté le 14/06/2024)

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