L’hôpital Saint-Louis, alma mater
de la dermatologie en France

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Entrée du nouvel hôpital Saint-Louis, 1 avenue Claude-Vellefaux

Coll Musée hôpital Saint-Louis

 

Pendant tout le XIXème siècle, l’activité dermatologique de l’hôpital Saint-Louis progressa régulièrement. L’établissement était devenu la « terre classique de la dermatologie », pour reprendre le mot d’Alfred Hardy. A partir du dernier tiers du XIXème siècle, de nouveaux bâtiments furent édifiés pour répondre aux nécessités de soins et d’apprentissage de la dermatologie. Une école pour enfants teigneux – fondée sur l’initiative de Lailler, installée dans les locaux toujours existants à l’angle de la rue Bichat et de la rue de la Grange-aux-Belles – assura les soins et l’enseignement primaire, de 1886 jusqu’au début des années 1950. Le pavillon de Malte répondant à une volonté d’isoler les malades de la lèpre fut utilisé à partir de 1932. Un dispensaire anti vénérien – pavillon Gougerot, d’architecturale originale en forme de rotonde – fut ouvert le 15 mai 1933. Ces bâtiments furent détruits lors de la construction du nouveau Saint-Louis.

Le nouvel hôpital Saint-Louis est en fonctionnement depuis le début des années 1980. Le service de dermatologie est dirigé par le Pr Martine Bagot.

 

 

Pr Martine Bagot, chef du service de dermatologie de l'hôpital Saint-Louis

Coll Musée hôpital Saint-Louis