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Pascal, Louis.
Desabusement des esprits vains qui s’amusent à chercher dans l’art ce qui n’est que dans la nature & dans la nature ce qu'elle n'a pas...
A Tolose, par la Veve de I. Colomiez & Rayn Colomiez , 1626 Avec approbation et privilege du Roy.
Cote : 41043.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/histmed/medica/cote?41043
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[sans numérotation] A Monseigneur Monseigneur Le Masuyer Vicomte d'Ambrieres, Cheuallier, Conseiller du Roy en ses conseils d'Estat & Priué, & premier President au Parlement de Tolose
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[sans numérotation] Preface au Lecteur
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1 Des abusement des esprits vains. Que de temps en temps Dieu monstre quelque chose des tresors de sa sapience. Chap. I
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22 Des causes du flux & reflux de l'Ocean. Chap. II
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31 Comme la mer a deux flux a reflux dan un iour, par la vertu de la Lune, quoy que la Lune ne fasse qu'un cours, & ne la voye qu'une fois. Chap. III
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35 Pourquoy les petites mers n'ont pas de flux & reflux. Chap. IV
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40 De la cause des vents. Chap. V
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51 Comme la fermetté, que les sainctes Escritures donnent à la terre, est qu'elle ne tourne pas circulairement. Chap. VI
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57 De la stabilité d'une partie de la terre hors de son centre & plus haut que la mer. Chap. VII
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69 Que nos yeux voyent differentes les choses selon la matiere par ou la veuë passe, & selon la forme de cette matiere se puuant tromper à la veuë des astres. Chap. VIII
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77 Que les fontaines ne peuuent venir de la mer que par les pluyes, & qu'elles sont aussi chaudes en esté qu'en hyuer. Chap. IX
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83 Comme il faut entendre la Genese, quand elle dit que l'eau couuroit la terre, & fust assemblée en un lieu. Chap. X
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95 Que les Astrologues, ne cognoissent le poinct des constellations si precisement comme ils disent, n'y les effects d'icelles, en la sorte qu'ils nous veulent faire croire, & que la plus grande partie des promesses qu'ils font, sont vaines ou effectuées par le Diable. Chap. XI
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120 Que ceux qui pensant donner à l'Art, ce qui n'appartient qu'à la nature, veulent faire de l'or contre l'ordre, auec lequel l'or entretient sa valeur dans la rareté, s'abusent & abusent les abusés. Chap. XII
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136 Que les Medecins pourroient donner des reigles aux usages du feu, du pain, & du vin, lesquelles ils negligent. Chap. XIII
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162 Qu'elles qualités doit auoir le pain, pour estre propre à la santé, & comme il le faut apprester. Chap. XIV
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167 Des alterations du vin, & difference entre les vins, tant naturels, & non alterés, que alterés & gastés. Chap. XV
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172 Que la quadrature du cercle, est impossible à treuuer par les mesures, & le mouuement infaisable, en la modo qu'on pense, qui est lateralement. Chap. XVI
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181 Qu'il n'y a point de mouuements perpetuels, laterales, n'y par art n'y par nature. Chap. XVII
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189 Que le niueau trompe ceux qui veulent escouler de marets ou estangs, à faute de cognoistre la globosité de la superficie de la terre, ou de l'eau sans laquelle cognoissance les mathelots ne sçauent de combien loing un nauire peut estre veu, ny de combien loing on peut voir un phanal. Chap. XVIII
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197 Que c'est une absurdité, de dire qu'on puisse arrester les voix ou paroles prononcées, pour estre produictes au temps qu'on veut; & comment il faut faire les echos artificiels. Chap. XIX
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211 Que les heretiques sont fols, ignorans & malicieux. Chap. XX
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