PrésentationMode d’emploiServices associésRéutilisations

Liste des pages

 
1944, n° 127, partie médicale. - Paris : J.-B. Baillière et fils, 1944.
Cote : 111502, 1944, n°127.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de réponses : 280 1-250 page précédente
46 L'agent de la maladie de Nicolas-Favre, par H. Jausion. Le virus lymphogranulomateux
Image : Lésions de lymphogranulomatose et corps de Miyagawa chez la même souris (Giemsa) (d'après C. Levaditi) / Corps de Négri chez une souris inoculée avec l'association rage-lymphogranulomatose. Méthode de Mann (d'après C. Levaditi)
70 La greffe bréphoplastique intra-oculaire de la muqueuse gastrique chez la souris, par Raoul-Michel May et M. Coquoin-Carnot
Image : Oeil de souris : greffe bréphoplastique d'estomac un mois après l'implantation
Planche I
Image : Fig. 1. - Obs. I. - « Sciatique » gauche, avec irradiation secondaire sciatiques droite / Fig. 2. - Obs. II. - « Sciatique » gauche. Exaspération douloureuse intolérable par la position couchée / Fig. 3. - Arrêt supérieur du lipiodol, en dôme, en C6-C7 / Fig. 4. - Arrêt inférieur du lipiodol, derrière L3
Planche II
Image : Fig. 5. - Obs. V. - « Sciatique » gauche. Position couché ou débout indifférentes / Fig. 6. - A la hauteur du bord supérieur de L1, arrêt partiel du lipiodol, en dôme / fig. 7. - En basculant le malade, la tête en bas, on voit se dessiner, à la partie inférieure de L1
177 A propos de la duodéno-pancréatectomie céphalique pour cancer de la tête du pancréas, par Alain Mouchet
Image : Fig. 2 et Fig. 3 Whipple, à la cholécysto-gastrostomie, a reproché de dévoriser la stase et l'infection, donc l'angiocholite : aussi a-t-il eu recours, chez son deuxième et son troisième opéré, à une cholécysto-jéjunostomie antérieure précolique type Roux, avec implantation jéjuno-jéjunale à 12 centimètres environ au-dessous de l'anastomose
178 A propos de la duodéno-pancréatectomie céphalique pour cancer de la tête du pancréas, par Alain Mouchet / Le mode de dérivation biliaire
Image : Fig. 4 Brunschwig a réalisé, lui aussi, une anastomose cholécysto-jéjunale, mais termino-latérale et transmésocoique / Fig. 5. - Section du pancréa au niveau de l'isthme
186 Réflexions sur un point de la technique de l'amputation abdominopérinéale du rectum sans abaissement, par Jacques Hepp
Image : Schéma 1 Pour faciliter l'exérèse lors du temps abdominal de libération, l'idée est venue de longue date de diviser totalement l'intestin lors de la réalisation de la colostomie par incision sus-iliaque gauche, d'aboucher l'extrémité terminale du segment colique supérieur à la peau de la fosse iliaque, puis, après dégagement plus ou moins poussé, de fermer l'extrémité supérieure du segment recto-colique en cul-de-sac, de l'abandonner librement dans la cavité abdominale, réalisant ainsi une exclusion unilatérale ouverte au canal anal
187 Réflexions sur un point de la technique de l'amputation abdominopérinéale du rectum sans abaissement, par Jacques Hepp
Image : Schéma 2 Ici, c'est au cours du temps abdominal d'exérèse qu'on sectionne le sigmoïde non loin de l'anus artificiel. Il reste entre la section colique et la colostomie un court segment attenant à la paroi. On enferme l'extrémité abdominale en cul-de-sac sous plusieurs bourses d'enfouissement, rélaisant une brève exclusion unilatérale ouverte, elle, dans la colostomie. Moins dangereux que le précédent, ce procédé comporte cependant, comme lui, un assez gros pourcentage de risques de désunion, d'accidents péritonéaux ou occlusifs. Nous croyons sage de tout faire pour éviter également d'y recourir / Schéma 3 Supprimer toute la portion du côlon sous-jacente à la colostomie en la désinsérant par voie médiane de l'incision latérale où elle est amarrée serait une façon élégante d'éviter tous les écueils. La chose n'est pas impossible, mais, même lorsqu'on a pris soin de séparer par un pont cutané les deux orifices de l'anus iliaque gauche, cette libération pariétale par voie médiane est laborieuse, difficile, aléatoire pour la vascularisation de la branche supérieure afférente. S'il faut s'aider au cours de ces manoeuvres de l'excision directe de la brèche iliaque gauche, on ajoute alors à l'intervention un temps septique qui l'allonge et l'aggrave. Une telle pratique est aussi préjudiciable que les deux autres et constitue, avec elles, la triade des artifices que nous estimons dangereux et qu'il faut savoir rejeter / Schéma 4 Nous avons suivi deux fois cette technique avec succès ; mais, dans un cas, l'inoculation septique de l'incision médiane retarda beaucoup l'intervention seconde du fait d'une suppuration prolongée. Sans doute, cet accident doit-il être évité par une technique impeccable. Il n'en est pas moins vrai que, s'il survient, il constitue un reproche assez sérieux à la méthode. Par ailleurs, il enlève à la colostomie le caractère de simplicité qu'on aime à lui garder
188 Réflexions sur un point de la technique de l'amputation abdominopérinéale du rectum sans abaissement, par Jacques Hepp / Actualités médicales. Coloration de l'hématozoaire de Laveran
Image : Schéma 5 Cette manœuvre ingénieuse est quand même un peu complexe et assez délicate. Elle amène au dehors le segment exclu, qui pourra se rétracter peu à peu, mais qu'il est parfois nécessaire (inconvénient mineur, à dire vrai) de réséquer secondairement. Bien exécuté, ce procédé met sûrement à l'abri de toutes les complications péritonéales ou occlusives que peut engendrer la présence d'un cul-de-sac, d'un vase clos. Il est légitime de lui conserver une place de choix / Schéma 6 Notons que la même technique peut être suivie dans une opération d'Hartmann, purement abdominale, faite sous couvert d'anus iliaque. Il est même logique de se demander si la portion du côlon ainsi respectée, et sans doute capable d'allongement ne serait pas susceptible d'être utilisée secondairement pour un éventuel rétablissement de la continuité, qui n'aurait paru ni logique ni possible d'emblée, par intubation sous couvert de la colostomie persistante
Nombre de réponses : 280 1-250 page précédente