PrésentationMode d’emploiServices associésRéutilisations

Liste des pages

 
1937-1938. - Paris, 1937-1938.
Cote : 112580.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de réponses : 160 1-160
[Sans numérotation] Sommaire
Image : Les pages que l’on va lire ne prétendent pas décrire l’Exposition, ville de féerie, monde nouveau à l’égard duquel tant de nos confrères ont excellemment rempli leur tâche d’informateurs
[Sans numérotation] Renaissance de la grande architecture, par Pierre Dominique
Image : Vue générale et détails du Trocadéro, qui n'a pas échappé à la critique. Il ne risque pas, cependant, de succomber, comme son prédécesseur, sous les sarcasmes. Les mécontents systématiques n’ont pas osé, cette fois, avoir la main trop lourde. L'on peut avancer que cet ensemble monumental, une fois réencadré de verdures, sera unanimement admiré et aimé
[Sans numérotation] Renaissance de la grande architecture, par Pierre Dominique
Image : Le Palais des Arts Contemporains, et quelques-uns des bas- reliefs dont le sculpteur Janniot l'a noblement orné. L’on est heureux de penser que cet édifice, plus favorisé que d’autres, magnifiques, mais éphémères, durera au bord de la Seine. Il est, en vérité, digne de Paris la Grand'Ville
[Sans numérotation] Renaissance de la grande architecture, par Pierre Dominique
Image : Le Palais des Arts Contemporains, et quelques-uns des bas- reliefs dont le sculpteur Janniot l'a noblement orné. L’on est heureux de penser que cet édifice, plus favorisé que d’autres, magnifiques, mais éphémères, durera au bord de la Seine. Il est, en vérité, digne de Paris la Grand'Ville
[Sans numérotation] Renaissance de la grande architecture, par Pierre Dominique
Image : A gauche, le pavillon des États-Unis (architectes : P. Wiener, Higgins et Lévi). Ci-dessous, le Palais des chemins de fer (architectes : Audoul, Hartwig, Bagge, Gerodias). Dans le coin gauche, le Planétarium... Et l’on regrette de ne pouvoir reproduire le pavillon de Saint- Gobin, celui de l'Aéronautique, ceux de la France d’Outre-mer, et combien d'autres encore / A gauche, le Palais des Décorateurs (architectes : Patout, Simon et Chaume). Dans le coin supérieur droit, la Spirale séduisante qui marque l’entrée de la rue de Constantine (archit. : Debat-Ponsan, Fildier, Sebillotte, Mestre). En bas à gauche, le Palais de l’Italie. Ci-dessous, l'Entrée du Boulevard Delessert (architectes : Ruillier et Gauthier). Oeuvres vraiment modernes
[Sans numérotation] Architecture familière, par André Thérive
Image : La grande photographie représente, avec la Tour Eiffel en arrière-plan, les pavillons de Guyenne et de Gascogne (archit. : Vardaguer) du Béarn, du pays basque et de Bigorre (archit. : Noutary) vus de la Seine. En page droite, le Pavillon de Provence (archit. : Castel, Gauthier et Chaume) son clocher robuste, écussonné, sommé de fer forgé
[Sans numérotation] Architecture familière, par André Thérive
Image : En page gauche, et de gauche à droite, le pavillon de Flandre - Hainaut - Artois (archit. : Quetelard, Morel, Barbottin), surmonté d'un beffroi des Flandres, et le pavillon de Picardie (archit. : Dufau père et fils). Ci-contre, le pavillon de la Corse (archit. : de Casablanca) planté à l’extrémité d'amont de l’Ile des Cygnes. Ces constructions et toutes les autres sont une interprétation moderne, admirablement réussie, des vieux styles provinciaux
[Sans numérotation] Architecture familière, par André Thérive
Image : Le bandeau de gauche est formé de vues du Centre rural (Porte Maillot). Ci-dessus, un silo, du même Centre. En grand, page gauche, le pavillon de la Bretagne (arch. : Couasnon) et, ci-contre, le pavillon de la Picardie qui enserre, avec ceux de Flandre- Hainaut-Artois, que l'on a vus précédemment, une jolie placette, bien de chez nous, comme tout l'adorable Centre régional
[Sans numérotation] Ornement de la vie, par Octave Béliard
Image : C’est tout le Centre des Métiers que l’on devrait célébrer. Mais il faudrait un volume. Voici quelques vues intérieures du Pavillon des Décorateurs, où, choisir, c’est encore injustement omettre. A gauche, la Chambre de dame, de Maurice Dufrêne, et, à droite, la Salle à manger d’une ambassade, de Louis Sue, sont cependant des ensembles de haut goût, qui s’imposent à l’attention.
[Sans numérotation] Ornement de la vie, par Octave Béliard
Image : A gauche, Salon d’une ambassade, de Louis Sue, aux Décorateurs. En haut, Studio-chambre d’homme, d’A. Guénot, aux Ensembles Mobiliers. En page droite, en bandeau, de gauche à droite : Boudoir, de René Drouet, aux Ensembles Mobiliers, et Studio de jeune fille, d'A. Groult, aux Décorateurs. Engrand, Chambre à coucher de dame, d'A. Groult, aux Ensembles
[Sans numérotation] Ornement de la vie, par Octave Béliard
Image : En bandeau, de gauche à droite : Bureau en poirier, l’Albert Guénot, aux Ensembles Mobiliers; meuble en ébène et galuchat, d'André Groult, aux Décorateurs; Salle à manger jour la campagne, de J. Chevalier, et Boudoir de Lisette Lafoi et Angèle Lebrun, aux Ensembles Mobiliers. — En grand, à gauche, Living-Room de René Prou et, à droite, Salle à manger de Jean Pascaud, aux Ensembles
[Sans numérotation] Ornement de la vie, par Octave Béliard
Image : En grand, ci-dessous, Salon des clients chez un médecin, d’Henri-Albert Kahn, aux Décorateurs; en double page, Studio-Chambre de dame d’Albert Guénot, aux Ensembles Mobiliers. Ces meubles, ces décors ont un air somptueux. Mais d'autres stands peuvent satisfaire un goût à la fois difficile et modeste
[Sans numérotation] La femme, l'enfant, la famille, par René de Laromiguière
Image : En bandeau, trois vues du délicieux Village d’enfants attenant à la garderie du Cours-la-Reine. A droite, un presque-bébé, fort prospère, avec Mme François Débat, Directrice de la Garderie. En grand, l'heure du goûter
[Sans numérotation] La femme, l'enfant, la famille, par René de Laromiguière
Image : A gauche, en grand, le petit pont en dos d'âne, grande attraction pour les jeunes citoyens du Village; au-dessous, la classe décorée de façon à rendre le "travail" plaisant. A droite, jeux instructifs et soins d’hygiène, pour les tout-petits. En bas, les lits-pliants qu’un geste suffit à tirer d'une cloison. Et, çà et là, maintes frimousses aux expressions diverses
[Sans numérotation] Sommaire
Image : " Les cendres de Phocion ramassées par une femme de Mégare " (Earl of Derby, Knowsley, Angleterre), de Nicolas Poussin (1594-1665) qui, s’étant mis à l’école italienne, fut certes influencé par Rome, mais ne tarda pas à dégager son génie propre de “ véritable créateur des lois du paysage ", selon le mot de Bürckhardt. - Et trois siècles plus tard : " Baigneuses " (M. Walter Halvorsen, Oslo), de Paul Cézanne (1839-1906)
[Sans numérotation] Des siècles en quelques lignes, par Octave Béliard
Image : Ci-dessus : " La Vierge et l’Enfant " (Anvers), de Fouquet (1415-1480). — A gauche: "Vierge de Miséricorde " (Nice), de Miralhet (vers 1450). — En grand : volet gauche d'un diptyque de la fin du XIVe (Anvers). — En page droite : "Présentation d'un donateur", du XIVe (Worcester, U. S. A)
[Sans numérotation] Des siècles en quelques lignes, par Octave Béliard
Image : Détail de la « Piéta de Nouans » (Église paroissiale de Nouans) de Jean Fouquet (1415-1480), le plus grand de nos primitifs / En grand, "Couronnement de la Vierge" (Villeneuve – lès-Avignon) de Quarton (vers 1444-1464). En haut, détail de la "Nativité" (Autun) du Maître de Moulins (entre 1480 et 1500). En bas, "La Vierge et l'Enfant adorés par les Anges " (Bruxelles)
[Sans numérotation] Des siècles en quelques lignes, par Octave Béliard
Image : A gauche, " Le Soir " (The Duke of Westminster, Eaton Hall, Angleterre) de Claude Gelée dit le Lorrain (1600- 1682). — A droite, "Repas de paysans" (Musée du Louvre) de Louis Le Nain (1593-1648) et "Christine de Danemark " (M. G. Edgar Bonnet, Paris) attribué à François Clouet (1522-1572). — En bas, "l'Empire de Flore" (Staatliche Gemaeldegalerie, Dresde) de Nicolas Poussin
[Sans numérotation] Watteau Chardin Fragonard, par André Rousseaux
Image : "Les Jardins de la Villa d'Este" (M. G. Dormeuil, Paris) de Fragonard (1732-1806) et " Le Parc de Saint-Cloud " (Duchess of Roxburghe) d’Hubert Robert (1733-1808) / En double page, " La Fête d'Amour " (Staatliche Gemaeldegalerie, Dresde) d’Antoine Watteau (1684-1721) qui, solitaire, dessinant et peignant beaucoup, poussa le goût jusqu'au génie. Puis, "La Fête de Saint-Cloud" (Banque de France) de Fragonard
[Sans numérotation] Watteau Chardin Fragonard, par André Rousseaux
Image : Ci-dessus, la partie gauche de « l’Enseigne de Gersaint » (Palais de Charlottenburg, Berlin), de Watteau. A droite, « Le valet galant » (Musée de l’Ermitage, Léningrad), de Nicolas Lancret (1690-1745), témoin, plein de talent et d’exactitude, de la vie de son temps, mais qui, comme on sait, n’atteignit pas à la maîtrise de Watteau, son maître. / En haut, " Le Concert champêtre" (Musée d'Angers), de Watteau, oeuvre exquisement délicate et sensible. En grand, "L’Écureuse" (Glascow), de Jean-Baptiste Chardin (1699-1779), peintre charmant et malicieux de scènes de la vie familière. Il broyait sur sa palette, disait Diderot, "la substance même des objets... l’air et la lumière... "
[Sans numérotation] De David à Delacroix, par Pierre Dominique
Image : A gauche, "La Femme au Perroquet" (Lyon), d’Eugène Delacroix (1798-1863) et "Léda et le Cygne" (Louvre) de Géricault (1791-1824). Ci-dessous, " Baigneuse" Avignon) de Chassériau (1819-1856). A droite, "Course de chevaux libres" (Rouen) de Géricault
[Sans numérotation] De David à Delacroix, par Pierre Dominique
Image : "Le triomphe de Marat" [Lille) de Boilly (1761-1845), peintre fidèle, mais sans flamme dramatique, des aspects de son époque qui pourtant... — " Étude de nu" (M. Laporte, La Roche-Migennes) de P. Prud'hon (1758-1823). A droite, "Le serment des Horaces " (MM. Wildenstein et Cie, Paris), de David (1748-1825)
[Sans numérotation] D'Ingres à Monet, par André Thérive
Image : En haut, la " Route de la Princesse, à Louveciennes, le soir" (M. Durand-Ruel, Paris), de Sisley (1839- 1893), l'un des meilleurs peintres paysagistes de l’école impressionniste. En bas, " La Femme au perroquet " (Metropolitan Muséum, New-York), de Manet (1832-1883), annonciateur d’une révolution / En grand, " La belle Zélie" (Musée des Beaux-Arts, Rouen), de Jean Ingres (1780-1867), empereur du dessin et fervent de la femme habillée ou nue; " Le gamin au chien" (collection particulière), de Manet, contempteur des règles classiques... mais sa " révolution " respecta la continuité française
[Sans numérotation] D'Ingres à Monet, par André Thérive
Image : "Collines d'Allauch près Marseille " (Musée de Marseille) de Guigou (1834-1871). "Les Demoiselles des bords de la Seine" (Ville de Paris) de Courbet (1819-1877). " Homère et les bergers" (St-Lô) de Corot (1796-1875). Du même, "Vénus au bain" (Collection particulière). " Paysage : Le Pommier en fleurs " (Lord S. Churchill, Londres) de Pissaro (1830-1903)
[Sans numérotation] D'Ingres à Monet, par André Thérive
Image : " Femme nue " (Docteur Charpentier, Paris) de Pierre-Auguste Renoir (1841-1919). Portrait de «Jeanne Samary en buste " (Moscou), du même Renoir, grand artiste longtemps méconnu, maître pourtant profondément original qui, le premier, appliqua aux nus et aux portraits la facture hachurée des impressionnistes
[Sans numérotation] D'Ingres à Monet, par André Thérive
Image : "La voiture aux courses" (Muséum of Fine Arts, Boston) de Degas (1834-1917). "Deux danseuses" (M. Guérin, Paris) du même artiste qui fut très grand par l’audace de son art pourtant traditionnel, comme par l’intelligence et le fier caractère. Sa cécité finale fait penser, dramatiquement, à la surdité de Beethoven
[Sans numérotation] L'art moderne au petit palais, par Raymond Escholier
Image : « L’Odalisque au tambourin » (collection Paley), d’Henri Matisse, né en 1869. C’est le « maître qui a tant fait pour assurer hors de France le prestige de la peinture française ». « Effet de neige » (à M. Héin), de Wlaminck (né en 1876).
[Sans numérotation] L'art moderne au petit palais, par Raymond Escholier
Image : "Nature morte" (à Mme Pomaret), de Braque (1881). " Le kiosque de musique" (à Mme Cuttoli), de Dufy (1877), "Chênes-lièges" (collection Savoir), de Segonzac (1884). " La découverte de l'Amérique ", de Dufresne (1876). Les dates indiquent, bien entendu, la naissance des peintres, non des oeuvres
[Sans numérotation] Spectacles, par H. Delorière
Image : L'on voit en haut, de gauche à droite, divers artistes : Yves Forget, Jean Marais, Mlle Morène, Fainsilber, de la jeune troupe de l'Oeuvre, interprétant " Les Chevaliers de la Table Ronde ", le nouveau drame du grand poète Jean Cocteau. — En bas, Jeannette Choisy, Raymond Rouleau et Renée Saint-Cyr dans la Reprise de " L’Opéra de Quat'sous
[Sans numérotation] Place de la concorde, par Jeanne Ramel-Cals
Image : Au temps jadis, " l’eau traînait là dans les fossés et les orties du bord de l'eau, des chemins de terre s’y croisaient allant vers la Seine ou se promenant avec elle, et les loups y venaient en hiver danser entre les moulins à vent et tâcher de manger les meuniers... "
[Sans numérotation] Place de la concorde, par Jeanne Ramel-Cals
Image : Cette place de la Concorde, au nom admirable et qu'il faut souhaiter qu'elle garde à jamais, on a beau la connaître, elle offre un spectacle qui ne saurait lasser. Elle change selon le temps qu’il fait et selon l'heure diurne ou nocturne et cependant elle comble toujours ce mystérieux besoin d'harmonie qui est peut-être tout au fond de l'inquiétude humaine / La voici donc, cette Concorde, de jour et de nuit (ô réflecteurs, lanternes vraiment magiques!) : brillante de pluie, dorée de soleil ou dressant son monolithe, à l'écriture cunéiforme et Louis-Philippe, vers le ciel de Paris, le ciel fin, variable, ici mi- pommelé, mi- pur, orné de petites nuées pressées, comme l'est une vaste plaine d'un blanc troupeau.
[Sans numérotation] Trésors de nos églises et de nos provinces, par Pierre Dominique
Image : A gauche, un ange du XIII° siècle. (Eglise d'Humbert) - Au centre, saint Paul à la barbe annelée, assyrienne : sculpture du XIVe siècle. (Musée des Augustins, à Toulouse) - Ci-dessous, saint Louis d'Anjou, évêque de Toulouse : sculpture du XIVe siècle. (Augustins)
[Sans numérotation] Trésors de nos églises et de nos provinces, par Pierre Dominique
Image : A gauche, statuette de femme : sculpture du XVe siècle. (Musée archéologique de Graville-le- Havre) - Au centre, Notre- Dame de Grâce : sculpture du milieu du XVe siècle. (Musée des Augustins, Toulouse) - Ci-dessus, sainte Madeleine : sculpture étonnamment "moderne" de la fin du XVe siècle. (Eglise Saint-Pierre, Montluçon)
[Sans numérotation] Trésors de nos églises et de nos provinces, par Pierre Dominique
Image : A gauche, la Vierge et l'Enfant : sculpture du milieu du XVe siècle (Eglise Notre-Dame d’Auxonne). - Au milieu, Vierge de l’Annonciation : sculpture du XVIe siècle (Musée de la Société des Sciences, Rodez). A droite, Vierge de Pitié : groupe du XVIe siècle (Église de Bayel). De telles oeuvres, anonymes et si belles, abondent dans nos provinces
[Sans numérotation] Trésors de nos églises et de nos provinces, par Pierre Dominique
Image : Ci-dessus, Vierge de Rude (1794-1855) : statue d'un calvaire (Eglise Saint-Vin-cent-de-Paul, Paris). - A droite, Diane au bain de C. G. Allegrain (1710-1795) : sculpture prêtée par le musée du Louvre. - En page droite, Saint-Jean de Rude : statue d'un calvaire (Église Saint-Vincent-de-Paul, Paris). Toutes richesses d’art peu connues, avant l’Exposition 1937..
[Sans numérotation] Ma vie et mon jardin, par Maurice Bedel
Image : Nous sommes à La Genauraye, dans la Vienne, chez M. Maurice Bedel. Quand on annonce à l'écrivain l’intention de lui faire visite, l’on reçoit de lui un plan imagé de la région de Châtellerault, semé de petits arbres verts et qui porte ces mots charmants : Tous les chemins mènent à la Genauraye, prenez de préférence le chemin du coeur
[Sans numérotation] Ma vie et mon jardin, par Maurice Bedel
Image : L'une de ces photographies, celle du coin droit, représente le romancier entre Madame et Mademoiselle Bedel. On le voit, au-dessous, sur sa terre. Mais, dit-il, " je n’aime pas ne rien faire quand les autres travaillent Connu comme un grand laborieux, il nous pardonnera d'avoir donné ce document, un peu contre son gré… / De M. Bedel, on a pu lire dans d'importants journaux des articles de... "polémique romancée", d'une verve redoutable. Ce qu’ils manifestaient surtout, c'est l'amour de la terre et la connaissance profonde de l'âme paysanne. Les deux documents ci-dessus semblent bien exprimer, chez l’excellent écrivain, le bonheur d’être campagnard
[Sans numérotation] Chez Jean-Gabriel Domergue, par André Thérive
Image : A gauche, Jean-Gabriel Domergue et l'un de ses modèles. A droite, Mme Jean-Gabriel Domergue qui sculpta la belle et vivante figure de Maurice Maeterlinck, que l'on voit à côté d'elle. — Puis, divers aspects de l'atelier du célèbre peintre, avec, notamment, une " Vénus du Mas d'Agenais "
[Sans numérotation] Chez Jean-Gabriel Domergue, par André Thérive
Image : A gauche, le grand salon et, ci-dessous, le lustre de la salle à manger, le miroir vénitien, ses chandeliers Louis XV, d'argent ciselé. À droite, c'est l’antichambre. Elle annonce déjà l’artiste, son goût, ses goûts. L'objet central est le dernier carrosse, authentique, de Madame de Pompadour / "Le véritable artiste, écrit André Thérive, est sans doute celui qui fait de sa vie même et du décor de sa vie une oeuvre d’art... J. -G. Domergue, qui a entrepris de doter son époque d'une élégance bien à elle, ne pouvait manquer de prêcher d’exemple... " Et la cordiale simplicité de son abord est encore exemplaire
[Sans numérotation] Les "trois glorieuses", par Octave Béliard
Image : A gauche, le ban bourguignon à la " Paulée " de Meursault qui clôtura le cycle des Trois Glorieuses. Ci-dessous, dans le bastion des Cordeliers, dit "Vieux Cellier des Hospices de Beaune ", les cantou d'Biane (chanteurs de Beaune). A droite, les hérauts des Chevaliers du Tastevin
[Sans numérotation] Les "trois glorieuses", par Octave Béliard
Image : De haut en bas, à gauche: le mariage du Bourgogne et du Roquefort; M. Legendre, maître queux; cour de l’Hospice ; comité de délibération. Et, à droite : banquet dans le Bastion ; dégustation ; suite du mariage et un peu du trésor bourguignon
[Sans numérotation] Spectacles, par H. Delorière
Image : A gauche, Mme Germaine Rouer et M. Ledoux dans Marcelle de Barthaset Biaise Couture, d’"Asmodée". Ci-dessous, de gauche à droite, Mme Germaine Laugier, Mme Claude Génia et M. Squinquel dans Julia Farnèse, Lucrèce Borgia et Alexandre VI, au Vieux-Colombier / Ci-dessus, Dumesnil et Squinquel — En grand, " Les Fâcheux " au Théâtre Français, dans de nouveaux décors de Louis Süe et avec une mise en scène de Pierre Bertin
[Sans numérotation] Sommaire
Image : Toute la chrétienté vient de célébrer la plus douce, la plus belle fête du monde et de tous les temps. Noël n'est pas seulement pour les enfants un jour miraculeux. Il fait sourdre dans des coeurs innombrables un flot d'espoir et de pureté. Voici, à gauche, une vue générale de Bethléem où naquit l'Enfant adorable, et la procession du 24 décembre dans les rues de la ville sacrée
[Sans numérotation] La Noël des baux, par Octave Béliard
Image : La messe de minuit dans l’église Saint-Vincent des Baux. Un vieux berger porte dans ses bras l’agneau blanc qu’il passera à une bergère. Un fidèle baise les pieds de Jésus
[Sans numérotation] La Noël des baux, par Octave Béliard
Image : On le remarquera dans cette double page: tous les visages représentés, qui n’ont certes pas été choisis, ont une beauté commune. Elle ne tient pas au seul recueillement, elle est typiquement provençale. Il faut l’avouer, l’heureuse et claire Provence est une des rares régions françaises où l’on trouve des traits de race encore purs
[Sans numérotation] La peinture française au Trocadéro, par Raymond Escholier
Image : L'on a pu regretter l’architecture plantée en 1878 sur la colline de Chaillot : l’on avait de l’affection pour ce que l'on avait vu enfant. Mais le nouveau Trocadéro paraît bien être d’un art supérieur. Ci-dessus, « l’Art lyrique », noble fresque de Souverbie, au-dessus d’un grand escalier. A droite, le grand foyer décoré par Louis Sue. Puis une galerie de J. Carlu, L. -H. Boileau et L. Azéma, architectes, avec une admirable « Tragédie » d’H. de Waroquier
[Sans numérotation] La peinture française au Trocadéro, par Raymond Escholier
Image : A gauche, de haut en bas, décorations de Dufresne, de Chapelain-Midy et de Roland Oudot. En double page, un aperçu du Petit-Foyer avec une statue du sculpteur Durousseau et une décoration de Chapelain-Midy. Ci-dessus, la charmante «Comédie italienne» de Boussingault, au Petit-Foyer
[Sans numérotation] La peinture française au Trocadéro, par Raymond Escholier
Image : Ci-dessus, deux décorations de Planson, encore dans le Petit-Foyer formé de deux salles carrées réunies par une galerie à colonnes. En double page, un grand escalier des architectes Carlu, Boileau et Azéma, décoré par Louis Sue. La statue, devant une colonne de Louis Sue, est du sculpteur Francis Renaud / Enfin, voici l'intérieur du Théâtre du Trocadéro. J. et E. Niermans frères, architectes, sont les auteurs de cette salle dont on dit le plus grand bien au point de vue essentiel de l’acoustique. La matière des parois, la forme et les dimensions en ont été étudiées scientifiquement. La Musique y sera bien !
[Sans numérotation] La vallée sacrée, par André Thérive
Image : Un jour du Seigneur, en Haute-Maurienne, où « il y a autant de pèlerinages que d’oratoires perchés ou blottis ». En bas, la sortie de la messe à Bessans. En grand, le massif du Mont Cenis.
[Sans numérotation]
Image : [La vallée sacrée]
[Sans numérotation] La vallée sacrée, par André Thérive
Image : En page gauche, entre deux vues de villages savoyards, un aspect de la vallée de la Haute-Maurienne (où chemine un mulet), au pied de l’Iseran. En grand, une rue endimanchée du bourg de Bessans où se perpétue depuis le XVIe siècle une tradition de peinture populaire. Ci-dessous, Mauriennaises
[Sans numérotation] Rires et sourires du vaste monde, par Pierre Dominique
Image : De gauche à droite : le visage content d’une indigène du Togo; les yeux d'une dame de Marrakech ; la façon d’être gai de deux jeunes garçons, l'un Mexicain, l'autre Japonais. Ci-dessous, le sourire provocant d'une gitane. Fais-moi voir comment tu souris, je te dirai qui tu es ! Si ce proverbe n’existe pas, il faudrait peut-être bien le proposer
[Sans numérotation] Rires et sourires du vaste monde, par Pierre Dominique
Image : Ci-dessus, une paysanne yougoslave a le geste singulier de cacher son rire, comme s’il était inconvenant. De même font la Dahoméenne ci-contre et la Japonaise. Sous celle-ci, rires et sourires d’Haïti, de Tahiti et de la Chine
[Sans numérotation] Chez Louis Jouvet, par René de Laromiguière
Image : En page gauche, Louis Jouvet avec son collaborateur et ami Pierre Renoir. Puis, ci-contre, l’Electricien de l’Athénée. Tout indique qu’il attend avec confiance l’entière et amicale approbation du patron, à propos d’un ¡eu d'éclairage soigneusement réglé. — Ci- dessus, J. -L. Vaudoyer derrière L. Jouvet causant avec Edouard Bourdet
[Sans numérotation] Chez Louis Jouvet, par René de Laromiguière
Image : Entre Pierre Renoir et Louis Jouvet, un jeune de la troupe : Jacques Thiery, qui paraît bien savoir qu’il est à bonne école — fût-ce au sujet de l’emploi / Boverio, Renoir et Jouvet au travail. En bandeau, une scène de "L’Impromptu de Paris" et trois scènes de "La Guerre de Troie n’aura pas lieu", dans ses décors et costumes nouveaux
[Sans numérotation] La danse à l'écran, par Gaston Poulain
Image : Quelques tableaux du film " Symphonie autrichienne" que la Chambre de Commerce de Vienne fit tourner spécialement pour être présenté au Pavillon d’Autriche de l’Exposition Internationale de Paris. L’acteur principal de ce gracieux ouvrage est le ballet de l'Opéra de Vienne, dirigé par Mlle Hedy Pfundmayer.
[Sans numérotation] La mort du cygne, par Huguette Bernheim
Image : d’après la nouvelle de Paul Morand Adapté et réalisé par Jean Benoit-Lévy et Marie Epstein / En page gauche, Mlle Mia Slavenska (de face) au milieu de ses " petites prêtresses vouées au culte de la danse". Au-dessous, la petite Janine Charrat, étonnante interprète du rôle de Rose Souris. Ici, la même jeune artiste et sa camarade Jacqueline Queffelec, à la barre d'exercice. Enfin, Mlle Slavenska
[Sans numérotation] Sommaire
Image : Le champion de ski Emile Allais et la danseuse Janine Loris, s’envolant dans les airs, ne songeaient certainement pas qu'ils pourraient, à eux deux, fournir un symbole, pour le 21 mars: l'hiver rassemble au sein des neiges, dans un silence qui a l’air d'un sommeil, les forces éternelles de la nature. Un jour, la sève engourdie, contractée, se dilate, fait éclater les sévères apparences, et c'est le Printemps et sa dansante joie
[Sans numérotation] Ma maison de Versailles, par Jérôme et Jean Tharaud
Image : «C’est justement parce que j'aime la vie, écrivent les frères Tharaud, que je me trouve si bien à Versailles... Je suis mal à mon aise si je ne vois pas autour de moi de la verdure et des arbres, si je n’ai pas sous les yeux un jardin... » De gauche à droite, Jérôme et Jean. En haut de la page droite, l’entrée de la charmante maison des écrivains, qui fut la propriété de Louis XV
[Sans numérotation] Ma maison de Versailles, par Jérôme et Jean Tharaud
Image : Ci-dessus, le Vestibule où des chants d’oiseaux accueillent le visiteur et, au fond, l’entrée d’un petit salon. Ci-dessous, un coin du « grand » salon meublé et orné, comme toutes les autres pièces, avec ce goût exquis d’autrefois qui distingue les hâtes de ce lieu : deux grands artistes de lettres et Madame Jérôme Tharaud
[Sans numérotation] Kisling parisien, par André Thérive
Image : Ci-dessus, portrait par Kisling. A droite, trente ans d'une vie d'artiste, en portraits d’artistes, de modèles, d’amis et d'amies. On peut, sur ce mur de la fidélité au souvenir, reconnaître des disparus: Pascin, Modigliani, Edith Méra... Puis, des étagères garnies d’objets disparates. Enfin le peintre occupé à faire ses couleurs, sa riche couleur bien à lui
[Sans numérotation] Kisling parisien, par André Thérive
Image : Un beau nu, dont l'harmonieux relief est toute souple et jeune grâce " c’est l’un des modèles actuels de Kisling, qui prend la pose sous la main précautionneuse du peintre. A droite, ce même modèle qui va vivre sur trois toiles : en tête, en buste, et nu. En bandeau, il se repose, avec Kisling
[Sans numérotation] Gand, cité des floralies, par A. T'Serstevens
Image : Dans le coin de la page gauche, le Beffroi de Gand. En double page, dans une serre, des azalées. Ici, l’église Saint-Nicolas, à Gand où vont s’ouvrir les admirables Floralies.
[Sans numérotation] Gand, cité des floralies, par A. T'Serstevens
Image : Ci-dessus, une vue des canaux de Gand, avec au fond, dans la brume argentée, la silhouette de l’église abbatiale Saint-Bavon. A droite, la Maison des Corporations. Et puis des fleurs
[Sans numérotation] Les auberges de la jeunesse, par Octave Béliard
Image : Toutes les vues reproduites dans ces pages et celles qui suivent ont été prises à Paris, au Centre de Jeunesse, dit "Annexe Kellermann", construit par les architectes Robert-Houdin et Jack Neel pour survivre à l'Exposition. Il comprend une Esplanade, une Auberge, un Hall d'accueil, un Club-Bibliothèque, un Centre dramatique, etc. / La double page représente, de gauche à droite, l'escalier du Théâtre, le Centre dramatique et artistique avec sa galerie d'exposition de documents et une vue générale des constructions. Ci-dessus, une galerie qui surplombe les ateliers du Théâtre et un aperçu des portiques extérieurs. L’on peut juger par-là de l'importance de la création
[Sans numérotation] Les auberges de la jeunesse, par Octave Béliard
Image : La grande photographie de gauche est celle du Salon de réunion et de repos pour les jeunes voyageurs. Ci-contre, c’est le réfectoire. L’on voit en bandeau, de gauche à droite, l’atelier de musique, la cuisine et, enfin, deux nouveaux arrivés occupés à défaire leur bagage portatif. Il n’est sans doute pas besoin de faire remarquer la « puissance de sympathie » de maints visages
[Sans numérotation] Les auberges de la jeunesse, par Octave Béliard
Image : Le bandeau de gauche représente, de haut en bas, un escalier d’accès aux chambres de l’auberge, un masque pour le Théâtre des Comédiens-Routiers, une scène jouée par eux et, masqué, leur directeur, M. Léon Chancerel. En grand, l’amphithéâtre d’études scéniques et une scène des « Méfaits de la gulosité », encore jouée par les Comédiens
[Sans numérotation] Au salon des médecins, par Pierre Dominique
Image : Ci-dessus, « Diane au chien », du regretté professeur Sabouraud qui, non content d’être un grand dermatologiste, fut un statuaire et un écrivain d’une rare valeur. L’on se plaît à saluer en lui, avec respect, le type même de ces « scientifiques », qui, exerçant le plus beau de tous les arts, la Médecine, savent servir le Beau tout court.
[Sans numérotation] Les Antilles françaises, par Albert Maybon
Image : Ci-dessus, divers types de Martiniquaises, avec une vue de la Pointe-à-Pitre, l’une des villes principales de la Guadeloupe. En grand, femmes de Basse-Terre, chef-lieu de cette même île. Martinique, Guadeloupe, "oasis ardentes de la mer... " / A la Martinique : la récolte de la canne à sucre, richesse profonde des Antilles françaises. « Dans cette atmosphère chaude et humide, la canne à sucre prospère » (sur 25. 000 hectares pour la seule Martinique). Mais le sol a bien d’autres générosités
[Sans numérotation] Les Antilles françaises, par Albert Maybon
Image : Ci-contre : bord de la Grande-Rivière, à la Guadeloupe. (Les Antilles sont abondamment arrosées et les rivières y sont des plus utiles au trafic) Au-dessous, vue du Carbet, petit port de pêche de la Martinique, sur la côte ouest. En grand, les pêcheurs / Puissent ces quelques aspects des Antilles inciter beaucoup de Français de la Métropole à mieux connaitre ce « pays de France » d’outremer et ses habitants, « race fière, ardente », l’une des plus cordialement fidèles à la mère-patrie.
[Sans numérotation] Spectacles, par H. Delorière
Image : Plaisir des yeux, toujours renouvelé par deux établissements qui rivalisent de luxe, d’ingéniosité, de courage à risquer d’énormes dépenses pour monter des spectacles sans lesquels Paris ne serait pas ce qu’il est : hardi, anti-Tartufe, rieur et nullement malsain, du moins au regard des Parisiens!
[Sans numérotation] Sommaire
Image : A gauche, les Cinq Croix de Ploubezre (Côtes-du-Nord). A droite, le Lavement des pieds, à Guimiliau (Finistère). "Un mémorial permanent rappelle aux vivants ce qui se passa en Palestine il y a plusieurs siècles, voire des dizaines de siècles... La profusion de ces oeuvres rustiques sur tout le territoire d'une province, c’est la vraie décentralisation de l’âme"
[Sans numérotation] Calvaires Bretons, par André Thérive
Image : Près de Penmarch (Finistère) la chapelle Notre-Dame. – Les trois personnages de la double page appartiennent à un calvaire de Saint-Thégonnec (Finistère). Ceux de droite, de haut en bas, animent des calvaires de Plougastel et de Guimiliau (toujours dans le Finistère).
[Sans numérotation] Calvaires Bretons, par André Thérive
Image : En grand, le calvaire de Guéhenno (Morbihan), l’un des plus beaux de la Bretagne. Les fragments de gauche et de droite, en haut, se voient à Pleyben (Finistère). Au-dessous, en bandeau, deux détails du calvaire de Guimiliau et un de Tronoen
[Sans numérotation] Couleurs d'Angleterre, couleurs de rêve et de magie, par Raymond Escholier
Image : A gauche, par Constable, la plage à Brighton et, au-dessous, la rivière Avon à Salisbury dont on aperçoit la Cathédrale derrière un peuplier. "On sait tout ce que Delacroix et avec lui l’école de Fontainebleau durent au paysage anglais et surtout à Constable". En double page, la grande jetée de Calais, par Turner, à qui Pissarro et Claude Monet ont demandé le secret du prisme
[Sans numérotation] Couleurs d'Angleterre, couleurs de rêve et de magie, par Raymond Escholier
Image : En page gauche, par Romney, le portrait du jeune William Pitt. En double page, par « l’enchanteur » Thomas Gainsborough, les filles de l’artiste. Ci-dessous, par Raeburn, portrait d’une femme inconnue. (Cette toile ne figure pas à l’Exposition actuelle où le grand peintre écossais, qui fit plus de six cents portraits, n’est qu’insuffisamment représenté).
[Sans numérotation] Couleurs d'Angleterre, couleurs de rêve et de magie, par Raymond Escholier
Image : Le petit lever de la comtesse, par Hogarth, peintre puissant. Ses tableaux, disait H. Walpole, "sont les témoignages les plus fidèles qu’on aura dans cent ans sur notre manière de vivre" / En doubles page, Rober Andrews et sa femme, par Gainsborough, et, ci-dessus, Francis Dukinfield Ashley avec ses chiens de chasse, par Marshall : personnages et scènes bien anglais.
[Sans numérotation] Couleurs d'Angleterre, couleurs de rêve et de magie, par Raymond Escholier
Image : Encore par W. Hogarth, peintre de moeurs et portraitiste, la Marchande de crevettes. "Ce génie brutal a donné le jour à la splendide école du portrait britannique"
[Sans numérotation] Couleurs d'Angleterre, couleurs de rêve et de magie, par Raymond Escholier
Image : En haut, le Colonel St-Léger, par Reynolds avec qui "la peinture anglaise devient un art de gentleman... Ce qui le préoccupe, c’est la grâce des attitudes, la souplesse des lignes, l’éclat de la matière". Il exerça une grande influence. Du même, Miss Crewe
[Sans numérotation] Les jardins exotiques de Monaco, par F. Roussel Despierres
Image : Comme l’écrit notre éminent collaborateur Roussel-Despierres, "ce sont les sensations qu’il faudrait traduire de cette nature greffée, si l’on peut dire, sur notre nature étonnée"
[Sans numérotation] L'armée française au Maroc, par Pierre Dominique
Image : L'Atlas aux confins du Sahara. C'est le Sud-Marocain, théâtre d'une tragédie de la soif, aucune pluie n'y étant tombée depuis quatre ans. Le principal souci de l’Officier, dans ses rapports avec l'Indigène, c’est l’eau. Mais la tenue des troupes, la garde du drapeau, l’immensité du ciel lui font un fier bonheur
[Sans numérotation] L'armée française au Maroc, par Pierre Dominique
Image : En haut, l’un de nos meilleurs officiers des affaires indigènes, le Commandant Ayart, surnommé Ayart-le-Berbère. En grand, un jeune légionnaire du 3e régiment étranger. A droite, un spahi marocain avec son cheval. Une dune de sable et de pierraille. Tels sont les hommes et le pays du Sud.
[Sans numérotation] André Rousseaux, par Octave Béliard
Image : André Rousseaux L’auteur des « Ames et visages du XXe siècle » (grand prix de la critique en 1933), du « Paradis perdu », de l’Art d’être Européen » (couronné par l’Académie française en 1934) et d’une excellente « Littérature du vingtième siècle », à l’accent si personnel, qui vient de paraître.
[Sans numérotation] André Rousseaux, par Octave Béliard
Image : M. André Rousseaux, successeur d’Henri de Régnier au " Figaro", mène dans sa villa de Saint- Cloud une vie de labeur et de plaisir. Le plaisir, c’est sa famille. C'est aussi, vu de son balcon, le spectacle d’un jardin et de " Paris offert dans une corbeille de verdure qui va de Suresnes à Meudon ", comme lui-même l’écrivait naguère
[Sans numérotation] Spectacles, par H. Delorière
Image : A gauche, Louis Jouvet et Alex Rignault dans le "Corsaire" de Marcel Achard. Ci-dessus, l’un des décors de cette pièce. — Ci-dessous, Germaine Dermoz, seule, dans "Frénésie" de Charles de Peyret-Chappuis, puis avec Jeanne Lion. En grand, Jeanne Aubert dans la revue de Rip. Dans le coin droit, elle chante un duo avec Robert Burnier, en général Boulanger
Nombre de réponses : 160 1-160