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Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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 xiij  Gazette littéraire de Goetingue
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 269  Commentaires sur les aphorismes d'Hippocrate. Section septième. Aphorisme premier. Dans les maladies aiguës, le refroidissement des extrémités est un mauvais signe
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 271  
 272  Aphorisme II. Une chair livide sur un os malade, est de mauvais augure.
 273  
 274  
 275  Aphorisme III. Le hoqnet et la rougeur des yeux succédant au vomissement, sont des sinistres présages
 276  
 277  Aphorisme IV. Le frisson après la sueur est mauvais
 278  
 279  Aphorisme V. La dysentrie, l'hydropisie ou l'extase survenant dans la manie, sont favorables
 280  
 281  
 282  
 283  Aphorisme VI. Dans les maladies longues, le dégoût et les déjections de bile pure sont de mauvais augure
 284  
 285  
 286  Aphorisme VII. Le frisson et le délire, après des excès de boisson, sont funestes
 287  
 288  Aphorisme VIII. Lorsqu'une vomique se rompt, il en résulte une prostration subite, le vomissement et la défaillance
 289  
 290  
 291  
 292  
 293  
 294  Aphorisme IX. Dans une forte hémorrhagie, le délire ou les convulsions sont redoutables
 295  
 296  Aphorisme X. Dans l'ileus, le vomissement, le hoquet, les convulsions ou le délire sont de très-mauvais signes
 297  
 298  
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 300  
 301  Aphorisme XI. La peripneumonie succédant à la pleurésie est très-grave
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 303  Aphorisme XII. La phrénésie à la suite de péripneumonie est de mauvais augure
 304  
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 307  Aphorisme XIII. Dans la fièvre ardente, le tétanos ou les convulsions sont de sinistres présages
 308  
 309  Aphorisme XIV. Dans les plaies de tête, la stupeur ou le délire est de mauvais augure
 310  
 311  
 312  
 313  Aphorisme XV. Le crachement de sang suivi du crachement de pus est mauvais
 314  
 315  
 316  
 317  
 318  Aphorisme XVI. Le crachement de pus suivi de diarrhée et de chute des cheveux est funeste, et, si les crachats se suppriment, la mort
 319  
 320  Aphorisme XVII. Dans l'inflammation du foie, le hoquet est mauvais
 321  
 322  Aphorisme XVIII. Dans la léthargie, le tremblement est mortel
 323  
 324  Aphorisme XIX. L'érysipèle produit par la dénudation d'un os est mauvais
 325  
 326  Aphorisme XX. La suppuration ou la putridité à la suite d'érysipèle est mauvaise
 327  
 328  
 329  Aphorisme XXI. Dans les plaies, l'hemorrhagie qui s"annonce par de vives pulsations des veines est redoutable
 330  
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 334  Aphorisme XXII. La suppuration à la suite de douleurs anciennes du ventre est mauvaise
 335  
 336  
 337  Aphorisme XXIII. La dysentrie succédant à des déjections de bile pure est mauvaise
 338  
 339  Aphorisme XXIV. Dans les fractures du crâne, la stupeur ou le délire, si la plaie est pénétrante, est de mauvais augure / Aphorisme XXV. Les convulsions causées par les purgatifs sont mortelles
 340  Aphorisme XXVI. Dans les vives douleurs de ventre, le froid des extrémités est un mauvais signe
 341  Aphorisme XXVII. Le ténesme chez les femmes enceintes est une cause d'avortement
 342  Aphorisme XXVIII. Lorsqu'un os, un cartilage ou un nerf sont entièrement divisés, ils ne croissent, et ne se réunissent point / Aphorisme XXIX. Si une forte diarrhée se déclare dans la leucophegmatie, elle termine la maladie
 343  
 344  
 345  Aphorisme XXX. Dans les diarrhées avec déjections spumeuses, la pituite descend de la tête
 346  
 347  Aphorisme XXXI. Dans les fièvres, les urines qui déposent une matière semblable à une farine grossière, présagent un long terme
 348  
 349  
 350  Aphorisme XXXII. Les urines avec un dépôt bilieux, mais claires à la superficie, indiquent une affection aiguë
 351  Aphorisme XXXIII. Les urines avec des nuages divisés, annoncent un grand trouble intérieur
 252  
 253  
 254  Aphorisme XXXIV. Les urines où nagent des bulles en haut, désignent une affection des reins, ordinairement longue
 255  
 256  Aphorisme XXXV. Les urines avec une couche grasse, épaisse, qui surnage, indiquent aussi une affection des reins, mais aiguë
 257  Aphorisme XXXVI. Quand ces mêmes signes d'affection des reins, se joignent à de vives douleurs des muscles de l'épine du dos [...]
 258  
 259  Aphorisme XXXVII. Le vomissement de sang, lorsqu'il est sans fièvre, peut être salutaire ; mais avec fièvre il est dangereux. Il faut alors y remédier par les rafraîchissans et les astringens
 360  
 361  Aphorismes. La fièvre tierce exacte se juge en sept accès au plus / Les maladies aigües se jugent en quatorze jours
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 366  Aphorisme XXXVIII. Les catarrhes aigus de la poitrine se jugent par coction en vingt jours
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 369  Aphorisme XXXIX. Si l'on rend par l'urètre du sang pur ou des grumeaux de sang [...] / Aphorisme XL. Si la langue ou quelque partie du corps se paralyse, c'est par l'effet de l'atrabile
 370  
 371  Aphorisme XLI. Si un vieillard est pris du hoquet, après une purgation immodérée, cela est de mauvais augure
 372  
 373  Aphorisme XLII. Une fièvre, qui n'est point produite par la bile, se termine par le moyen d'affusions abondantes d'eau tiède sur la tête
 374  
 375  Aphorisme XLIII. La femme ne devient point ambidextre
 376  
 377  Aphorisme XLIV. Si l'empyème opéré par le fer ou le feu donne issue à un pus pur et blanc, il est guérissable ; si la matière est épaisse et sanglante, il est mortel
 378  
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 380  
 381  Aphorisme XLV. Dans l'empyème du foie, ouvert par l'incision ou le caustique, si le pus parâit blanc et pur, la guérison est possible, car alors le fluide est contenu dans un kyste [...]
 382  
 383  Aphorisme XLVI. Dans les douleurs ophtalmiques [...] / Aphorisme XLVII. Si la toux attaque un hydropique [...] / Aphorisme XLVIII. Le vin pur et la saignée guérissent la strangurie [...] / Aphorisme XLIX. Dans la squinancie
 384  Aphorisme L. Si le cerveau est sphacélé ou paralysé, la mort survient en trois jours ; passé ce terme, la guérison est possible
 385  
 386  Aphorisme LI. L' éternuement provient de la tête, le cerveau étant échauffé ou les cavités du nez se trouvant très-humides : l'air qui y est renfermé en est expulsé avec force, et sort avec éclat, parce qu'alors il franchit un passage très-étroit
 387  
 388  Aphorisme LII. Les douleurs spontanées [...] / Aphorisme LIII. La saignée, lorsqu'elle est utile [...] / Aphorisme LIV. Lorsque la pituite ou la limphe s'amasse entre le diaphragme et l'estomac [...]
 389  
 390  
 391  Aphorisme LV. Lorsque le foie infiltré d'eau se dégorge dans l'épiploon, le ventre se remplit et les malades meurent
 392  
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 394  Aphorisme LVI. Le vin pris avec une égale portion d'eau fait cesser le baillement, l'anxiété et de légers frissons
 395  Aphorisme LVII. Lorsqu'un tubercule formé dans l'urrèthre vient à suppurer, un écoulement de pus très-abondant est la guérison
 396  Aphorisme LVIII. Les commotions du cerveau, quelle qu'en soit la cause, occasionent sur-le-champ la perte de la voix.
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 399  Aphorisme LIX. Faites souffrir la faim aux sujets qui ont les chairs humides, car elle déssèche
 400  
 401  
 402  Aphorisme LX. Des changemens rapides dans toute l'habitude du corps, soit du chaud au froid, soit d'une couleur à l'autre, ou de toute autre manière, annoncent des longueurs
 403  Aphorisme LXI. Une sueur considérable chaude ou froide, continuelle, indique une humidité surabondante. Tarissez-la par les vomitifs chez les sujets forts, et par les purgatifs chez les sujets faibles
 404  Aphorisme LXII. Les fièvres continues plus intenses le troisième jour, annoncent de la gravité ; mais, pour peu qu'elles deviennent intermittentes, alors elles ne sont point dangereuses
 405  Aphorisme LXIII. Les longues fièvres entraînent des abcès ou des douleurs aux environs des articulations [...] / Aphorisme LXIV. Des abcès lents ou chroniques à la suite des fièvres, sont les fruits d'alimens trop copieux
 406  Aphorisme LXV. Si vous nourrissez un fébricitant déja convalescent, vous le fortifiez ; mais s'il est faible, vous empirez son état / Aphorisme LXVI. Examinez ensuite l'excrétion urinaire si elle vous paraît telle que chez les personnes en santé [...]
 407  Aphorisme LXVII. Si vous laissez reposer les déjections sans les troubler, et si le dépôt en est semblable à des râclures, si c'est en petite quantité le mal est léger [...]
 408  Aphorisme LXVIII. Les selles crues proviennent de l'etrabile / Aphorisme LXIX. Dans les fièvres continues, les crachats livides, sanglans, bilieux ou même fétides [...]
 409  Aphorisme LXX. Rendez perméables les corps que vous voulez purger ; si c'est par haut, resserrez le ventre ; si c'est par bas, humectez-le au contraire
 410  Aphorisme LXXI. Le sommeil ou les veilles excessifs, et tout ce qui est immodéré est mauvais [...] / Aphorisme LXXII. Dans les fièvres, si les parties externes sont froides et les internes brûlantes [...]
 411  Aphorisme LXXIII. Dans une fièvre continue, si la lèvre ou le nez, l'oeil ou le sourcil, sont contournés ou renversés ; si la vue et l'audition sont abolies, avec une grande faiblesse, l'un ou l'autre de ces signes est mortel
 412  Aphorisme LXXIV. La leucophlegmatie produit l'hydropisie / Aphorisme LXXV. La diarrhée se change en lienterie
 413  Aphorisme LXXVI. La dysentrie est suivie de lienterie / Aphorisme LXXVII. Le sphacèle entraîne la carie de l'os
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 415  Aphorisme LXXVIII. Le vomissement de sang produit le crachement de pus, puis la phthisie succède au catarrhe de la tête ; ouis la diarrhée ; la suppression des crachats et la mort
 416  Aphorisme LXXIX. Examinez aussi les excrétions de la vessie, des intestins, et généralement ce qui s'échappe de l'enveloppe extérieure, soit des pores, soit des chairs, ou des autres voies naturelles [...]
 417  Section huitième. Aphorisme premier. La phrénésie se guérit difficilement chez les sujets âgés de plus de quarante ans ; car le danger est moindre quand l'âge et la constitution [...]
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 419  Aphorisme II. Dans les maladies aiguës, si les larmes paraissent avec sujet, elles ne sont point extraordinaires ; mais elles le deviennent d'autant plus, si elles sont involontaires
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 421  Aphorisme III. Dans la fièvre quarte, l'hémorrhagie du nez n'est point favorable
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 425  Aphorisme IV. Les sueurs fortes et rapides qui paraissent les jours critiques, sont périlleuses. Il en est de même de celles qui distillent goutte à goutte du front, comme les filets [...]
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 427  Aphorisme V. Le flux de ventre dans une maladie longue, est de mauvais augure / Aphorisme VI. Ce que les médicamens ne peuvent guérir, le fer le guérit ; ce que le fer ne guérit pas, le feu le guérit, et ce que le feu ne guérit pas, est inguérissable
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 430  Aphorisme VII. La phthisie attaque surtout les sujets de dix-huit à trente-cinq ans / Aphorisme VIII. La phthisie atteint avec plus de violence et mortellement ceux qui y sont naturellement disposés [...]
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 434  Aphorisme IX. Si la langue n'est ni noire, ni trop rouge, et s'il n'y a aucuns signes de ce genre, la maladie n'est pas très-grave, tout indique au contraire qu'elle est modérée
 435  Aphorisme X. Voilà donc ce qu'il faut bien observer dans les maladies aiguës, afin de prévoir si la guérison ou la mort doivent en être la suite
 436  
 437  Aphorisme XI. Le testicule droit, froid et contracté, est un signe mortel
 438  
 439  Aphorisme XII. Les ongles noirs, livides, les doigts des pieds et des mains livides [...] / Aphorisme XIII. Les lèvres livides, pendantes, froides, relâchées, signe mortel / Aphorisme XIV. Les oreilles froides, transparentes et rerées, signe mortel
 440  
 441  
 442  Aphorisme XV. Si un brouillard épais a déja obscursi le globe de l'oeil, si ce dernier fuit la lumière [...] / Aphorisme XVI. Si avec un délire furieux, la connaissance est entièrement perdue, l'ouïe insensible [...]
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 456  Aphorisme XVII. Ces signes sont encore plus prononcés au moment de la mort, alors le ventre se tend et se météorise
 457  Aphorisme XVIII. Enfin le terme fatal est expiré, lorsque la chaleur vitale, placée au-dessus de l'ombilie, remonte vers les parties situées au-dessus du diaphragme, et que l'humide radical est consumé [...]
 438  
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 451  Récapitulation
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 463  Avertissement
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 465  
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 467  
 468  
 469  
 470  
 471  Peste d'Athènes traduite en français sur le texte de Thucydide
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 496  Supplément. Aphorisme omis. Aph.18, sect.VII. L'insomnie, suivie de convulsion ou de délire, est redoutable. Commentaire
 497  Inflammation du foie
 498  
 499  Fièvre ataxique
 500  Fièvre ardente inflammatoire
 501  
 502  
 503  De la lecture des écrits de Galien
 504  
 505  
 506  
 507  
 508  
 509  
 510  
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 516  
 517  Réfutation de la biographie universelle, article Hippocrate ; et réparation de l'omission de la biographie moderne
 518  
 519  
 520  Aph.64, sect.v.Edit. in-32. Paris, 1814
 521  Edit. in-8° à trois colonnes, en grec, latin, français. Paris, 1826 / Edit. in-12, avec commentaires
 522  Sect. VII, Aph.79. Edit. in-32 / Edit. in-8° à trois colonnes, en grec, latin, français
 523  Edit. in-12, avec commentaires / Fin de la VIIIe sect. Edit. in-32
 524  Edit. in-8° à trois colonnes, en grec, latin, français / Edit. in-12, avec commentaires
 525  
 526  
 527  Section v, Aph.20. Bosquillon
 528  
 529  Aph.22, sect. V, et commentaire. De Mercy
 530  
 531  
 532  
 533  
 534  
 535  
 536  
 537  Autre souscription pour les bibliothèques particulières du roi
 538  
 539  Autre souscription du ministère de l'intérieur
 540  
 541  Table analytique et raisonnée des matières contenues dans les huit sections des aphorismes et les commentaires. A
 542  
 543  B
 544  C
 545  
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 548  
 549  D
 550  
 551  
 552  E
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 554  
 555  F
 556  
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 560  
 561  G
 562  H
 563  
 564  
 565  
 566  I
 567  J / L
 568  M
 569  
 570  
 571  
 572  N
 573  O
 574  
 575  P
 576  
 577  
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 579  
 580  R
 581  
 582  S
 583  
 584  
 585  T
 586  
 587  
 588  U
 589  
 590  V
 591  
 592  
 593  Y
 594  Erratum de l'article Hippocrate de la biographie universelle, tom XX, p.416, Paris, 1817 / Autre erratum / Autre erratum
 595  Errata des aphorismes