Image : Fig. 6. Epithélioma du nez remontant à 8 ans (M. Ey.). Irradiation jusqu'à obtention de la teinte IV du chromoradiomètre. Dose appliquée : 15 unités I (23 minutes) / Fig. 7. Deux mois après la séance. - Guérison maintenue depuis 3 ans / Fig. 8. Ulcus rodens de la joue (Mme Guér.). Irradiation à la teinte III du chromoradiomètre, 10 unités I (17 minutes) / Fig. 9. Mme Guér. deux mois après l'unique séance de radiothérapie

Image : Fig. 10. Champignon cancéreux de la joue (Mme Jul.). Dose appliquée : 15 unités I (teinte IV du chromoradiomètre) / Fig. 11. Photographie prise six semaines après la séance

Image : Lieu d'élection pour la ponction lombaire

Image : Fig. I. Estomac normal après ingestion de liquide bismuthé / Fig. II. Estomac normal après ingestion de liquide bismuthé. ef, anneau bismuthé, séparé du reste du liquide bismuthé par un espace clair, ce

Image : Fig. III. Relèvement, à l'aide de la main, de l'estomac normal

Image : Fig. IV. Relèvement, à l'aide de la main, de l'estomac atone. Même nomenclature que figure III

Image : Fig. 1. Incision

Image : Fig. 2. Nettoyage de l'articulation et avivement des tranches osseuses / Fig. 3. Suture périostique et suture des ailerons / Fig. 4. Suture sagittale à 2 fils (2 fragments égaux), 2 vues de face et une coupe / Fig. 5. Suture frontale (2 fragments égaux)

Image : Fig. 6. Cerclage (nombreux fragments) / Fig. 7. Suture-cerclage (1 gros fragment et 1 petit) / Fig. 8. Suture-cerclage (2 fragments égaux, dont l'un est fracturé et impropre à la suture) / Fig. 9. Suture et cerclage (rotule très friable)

Image : Fig. 1. Mensuration de la prostate à la boule olivaire / Fig. 2. Appréciation par le toucher rectal combiné au palper des saillies rectale et hypogastrique (deux travers de doigt), d'une hypertrophie de la prostate

Image : Fig. 3. Mensuration du dôme prostatique / Fig. 4 Prostate extraite d'un seul bloc, avec son urèthre prostatique

Image : Pied gauche. Pied droit. Empreintes : les parties teintes indiquent les points d'appui

Image : Fig. 1. Corset à grand col en entonnoir pour mal de Pott haut placé ou mal de Pott avec paralysie / Fig. 2. Corset à col officier après l'émondage définitif

Image : Fig. 3. Appareil de soutien improvisé / Fig. 4. Pour faire une sangle, on prend une bande de toile ordinaire de longueur égale à la taille du sujet plus 10 cm. : on la replie en deux et les deux extrémités sont nouées ensemble / Fig. 5. On divise en 3 cette grande boucle en prenant la bande aux deux extrémités du tiers moyen entre le pouce et l'index de chaque main / Fig. 6. La bande médiane doit avoir des dimensions telles que, lorsqu'on l'applique (les 2 chefs l'un contre l'autre) sur la face du malade au niveau du nez, les points pincés par les doigts doivent se trouver au niveau des trous auditifs / Fig. 7. Les doigts sont alors remplacés par deux épingles de nourrice

Image : [Fig. 8. Mise en place de la sangle / Fig. 9. Les deux pleins de la bouche médiane emboîtent le menton et la nuque quand on relève les boucles latérales / Fig. 10. On fixe avec une épingle un bout de bande au milieu de l'anse postérieure de la boucle médiane / Fig. 11. Fig. 12. La comparaison de ces deux figures montre l'utilité de la bande postérieure. A droite du lecteur, cette bande fait défaut, les 2 chefs antérieur et postérieur étant égaux, la tête est renversée en arrière. A gauche, la bande postérieure empêche ce renversement. On voit l'oreille protégée par un petit carré d'ouate / Fig. 13. Tendre et non suspendre. La sangle de traction est adaptée à la tête de l'enfant, dont les mains sont soutenues par un aide / Fig. 14. Tendre et non suspendre. On vient d'effectuer la traction verticale avant la construction de l'appareil ; les pieds du malade n'ont pas quitté le sol, mais cette traction est suffisante pour mettre le malade en bonne attitude et même pour redresser légèrement la gibbosité]

Image : [Fig. 15. Jersey, cravate ouatée et carré d'ouate appliqué sur le thorax / Fig. 16. Application de la 1re bande / Fig. 17. Application de la 1re bande (suite)]

Image : Fig. 18. Attelle postérieure fendue sur un tiers de la longueur / Fig. 19. Cravate composée d'une lanière d'ouate placée entre 2 doubles de mousseline molle / Fig. 20. Mise en place de l'attelle postérieure

Image : Fig. 21. Attelles mises en place / Fig. 22. Modelage de l'appareil au-dessus des crêtes iliaques

Image : Fig. 23. Cravate oblique occipito-mentonnière et tour d'ouate, l'un en équateur, l'autre en méridien, pour compléter la protection de la tête / Fig. 24. Manière de rouler la première bande plâtrée autour de la tête en équateur et en méridien

Image : [Fig. 25. Ces 2 attelles sont plaquées autour de la tête avec la bande plâtrée / Fig. 26. Modelage des épaules et des crêtes iliaques dans un grand plâtre / Fig. 27. Le haut de l'appareil a été coupé sur le front et les deux lambeaux rabattus par côté ; on a enlevé les épingles latérales de la sangle qu'on retire ensuite avec précaution en la faisant glisser]

Image : [Fig. 28. Appareil à col officier avec sa fenêtre provisoire / Fig. 29. La bande gommée appliquée et obturant en partie la grande fenêtre antérieure / Fig. 30. Fenêtre dorsale dans un plâtre moyen / Fig. 31. Les pans du jersey sont maintenus par un aide ; le chirurgien met en place les carrés d'ouate dont il étale soigneusement les bords entre la peau et le jersey au moyen de ses doigts ou d'un instrument plat (spatule)]

Image : Fig. 32. Le dôme d'ouate saillant par la fenêtre dorsale / Fig. 33. Compression du dôme au moyen de la bande de mousseline gommée / Fig. 34. La compression est terminée

Image : Fig. 35. Le jersey pour le moulage du tronc. Place des lattes / Fig. 36. On découpe le corset en suivant les lattes / Fig. 37. Modèle du corset en celluloïd, à col officier, terminé et garni / Fig. 38. Manière de faire la compression dorsale avec l'appareil en celluloïd

Image : Fig. 39. Ces carrés d'ouate plus larges que la fenêtre et d'un centimètre d'épaisseur sont introduits un par un, entre la gibbosité et les montants de la fenêtre / Fig. 40. On introduit ainsi 8 à 12 de ces carrés d'ouate, ce qui produit une saillie débordant par son milieu tant que la fenêtre est ouverte / Fig. 41. Volet rabattu par dessus l'ouate

Image : Fig. 42. Manière de palper la fosse iliaque interne / Fig. 43. Deux abcès en bissac / Fig. 44. Abcès (en bouton de chemise) qui a perforé les couches profondes de la paroi abdominale et vient s'étaler sous la peau

Image : Fig. 45. A droite, gros abcès ayant envahi toute la fosse iliaque et ayant refoulé / Fig. 46. Ponction d'un abcès iliaque au travers d'une fenêtre ménagée dans l'appareil plâtré

Image : Fig. 47. Pelvi support composé d'une selle de bicyclette / Fig. 48. Malade paralysé placé sur le support pour la confection du corset plâtré / Fig. 49. Ce que devient, en 6 ans, un pottique pas soigné ou mal soigné

Image : Fig. 50. Marthe G., d'Alger. Gibbosité datant de dix mois à l'arrivée à Berck / Fig. 51. L'enfant de la figure précédente, 3 ans et demi après le début du traitement

Image : Fig. 52. David Ter.-M., Tiflis. Gibbosité datant de deux ans / Fig. 53. Le même, trois ans après le redressement / Fig. 54. Fenêtre dorsale découvrant la gibbosité, et carrés d'ouate préparés pour la compression

Image : Fig. 55. Schéma indiquant le mécanisme de la compression / Fig. 56. Lucien B., rue de Rivoli, Paris. Gibbosité datant de 8 ans

Image : Fig. 57. Le même, six ans après le début du traitement / Fig. 58. Abel L., rue des Récollets, Valenciennes. Gibbosité à l'arrivée à Berck, à l'âge de 4 ans, en 1898. (Voir fig. 59, montrant l'enfant redressé)

Image : Fig. 59. Le même, redressé

Image : Fig. 1. D'après Alglave

Image : Fig. 2. Circonvallation / Fig. 3. D'après Alglave. Revue chir., 1908

Image : Fig. 1. Pour préparer les rouleaux d'ouate qui serviront à faire le revêtement, on déplie le paquet de coton et on le divise sur toute sa longueur en trois bandes

Image : Fig. 2. Chaque bande d'ouate est ensuite divisée, suivant son épaisseur, en trois minces feuillets que l'on roule ensuite / Fig. 3. Pour connaître le numéro d'une pièce de tarlatane, on place l'étoffe sur un mètre et on compte combien il y a de fils à la trame par centimètre / Fig. 4. Pour plâtrer des bandes extemporanément, on les roule dans une bouillie faite de trois parties d'eau pour quatre de plâtre

Image : Fig. 5. Les bandes plâtrées à l'avance sont faites avec du plâtre sec, étalé avec la main sur une bande de tarlatane qu'on enroule au fur et à mesure. Ces bandes ne doivent par être trop serrées ; on en voit une à droite de la figure / Fig. 6. Mauvaise manière d'exprimer l'eau des bandes plâtrées ; le plâtre s'échappe par la tranche de la bande / Fig. 7. Bonne manière d'exprimer l'eau des bandes plâtrées, les mains placées à chaque extrémité de la bande empêchent le plâtre de s'échapper / Fig. 8. Les attelles sont faites de trois épaisseurs de tarlatane. En haut, mauvaise manière de plier l'étoffe, les plis se déferont dans la bouillie. En bas, bonne manière, qui dispense de faufiler entre elles les trois épaisseurs

Image : Fig. 9. Quand les attelles sortent de la bouillie plâtrée, on les exprime légèrement / Fig. 10. Pour faire une bonne bouillie plâtrée, on met d'abord l'eau dans la cuvette, puis le plâtre que l'on verse lentement. Ne pas s'arrêter quand le plâtre commence à surnager, la bouillie serait trop claire

Image : Appareil permettant d'appliquer à la gynécologie la méthode de Bier