20 La paralysie pseudo-bulbaire d'origine cérébrale. Considérations pathogéniques. Par M. A. Halipré... II. Paralysie pseudo-bulbaire par lésions centrales bilatérales
Image : Fig. 6. Dans ce shéma nous avons figuré une lésion centrale unilatérale limitée aux noyaux gris centraux et n'empiétant pas sur la capsule interne. Les deux moitiés du bulbe reçoivent encore une innervation suffisante pour assurer leur fonction. La paralysie pseudo-bulbaire est très légère dans ces cas / Fig. 7. Ce schéma représente une lésion corticale unilatérale, restant superficielle et respecant les fibres d'association des noyaux gris, les fibres réfléchies F°C° et un faisceau qui n'a pas été figué, pour ne pas charger le dessin et qui réunirait les noyaux gris de l'hémisphère A à l'écorce A. Les connexions du bulbe avec le cerveau sont suffisantes. La paralysie pseudo-bulbaire sera très peu marquée / Fig. 8. Sur ce schéma la lésion représentée centrale, mais que l'on peut également supposer corticale, a détruit non seulement les noyaux gris ou la région de l'écorce qui leur donne l'incitation, mais encore les faisceaux qui les unisaient aux noyaux gris de l'hémisphère A. Une seule moitié du bulbe B a conservé ses rapports avec l'écorce. Elle reçoit elle-même moins de fibres qu'à l'état normal (F. C. n'existe plus)
145 Paralysie faciale chez l'enfant par le Dr Bézy...
Image : Fig. 1 / Fig. 2 / Fig. 3 / Fig. 4. Ces photographies montrent la différence d'aspect du visage, selon que l'enfant est au repos ou qu'il pleure. De plus, si l'on regarde successivement un des côtés de la face, sur les photographies 1 et 3, l'on voit que l'enfant ne pleure que d'un côté